Victoireface Bordeaux 5/2 apres 3 match sans victoire et ce soir enfin la victoire et la public au top ! MERCI LES BLEUS ALLEZ RACING ⚪
Objetà facettes multiples, souvent négligé dans la clinique et dans la théorie, le lien fraternel a des places et des fonctions diverses dans l’économie psychique. Le frère (ou la sœur) est à la fois familier et étranger, objet de désir et d’identification, tiers substituable de toutes les triangulations. L’auteur montre l’intérêt de son exploration dans la clinique,
Lettredu pape François. Au frère Gerard Francisco Timoner, O.P., Maître Général de l’Ordre des Prêcheurs. Praedicator Gratiae : parmi les titres attribués à saint Dominique, celui de « Prédicateur de la grâce » est remarquable par la consonance avec le charisme et la mission de l’Ordre fondé par lui.En cette année qui souligne le huitième
Leplus bel exemple de quelqu’un qui est demeuré fidèle dans la persécution jusqu’à la mort est le Seigneur Jésus-Christ. Parlant de lui, Paul dit : “Pour la joie qui lui était proposée, il endura un poteau de torture, méprisant la honte, et s’assit à la droite du trône de Dieu.” . Il faut du courage pour demeurer ferme en face d’une mort certaine. C’est grâce à un
Cest un désir qui ne cédera devant rien, pas même devant la mort. À aucun moment, Antigone reste fidèle aux idéaux paternel et fraternel – confondus, il est vrai, du fait de l’inceste réalisé dont elle est le fruit : fille et sœur de son père, elle se veut sœur avant, envers et contre tout. 9Dès l’aube de sa vie, Antigone était née hors de la loi des hommes,
Pourobtenir la bénédiction d’Isaac, Jacob s’est transformé en Esaü, il a pris ce qui devait être à Esaü, mais pour autant il n’est pas Esaü, qui, lui, est toujours là. Jacob, en incarnant Esaü et en prenant sa place, menace la possibilité de coexistence fraternelle. Il y a toujours danger quand les membres d’une fratrie ne
Lavie fraternelle propre à chaque Institut, qui unit tous les membres dans le Christ comme en une famille particulière, doit être définie (dans les Constitutions) de manière à devenir pour tous une aide mutuelle afin que chacun réalise sa vocation propre. Qu’ainsi, par la communion fraternelle enracinée et fondée dans l’amour, les membres soient un exemple
BbQe. Dieu, veille sur ceux qui mettent leur espoir en ton amour ! » Les gouttes d’amourNe vous imaginez pas que l’amour, pour être vrai, doit être dont on a besoin, c’est de continuer à une lampe brille-t-elle, si ce n’est pas par l’apport continuel de petites gouttes d’huile ?Qu’il n’y ait plus de gouttes d’huile, il n’y aura plus de l’époux dira Je ne te connais pas. »Mes amis, que sont ces gouttes d’huile dans nos lampes ?Elles sont les petites choses de la vie de tous les jours la joie, la générosité, les petites paroles de bonté, l’humilité et la patience, simplement aussi une pensée pour les autres,notre manière de faire silence, d’écouter, de regarder, de pardonner, de parler et d’ les véritables gouttes d’amour qui font brûler toute une vie d’une vive cherchez donc pas l’amour au loin ;il n’est pas que là-bas, il est en bien la lampe et vous le Teresa Textes pour célébrer Accueil Frères et sœurs,notre monde a tant besoin d’espérance !L’Évangile est Bonne Seigneur ouvre un chemin,il est porteur d’espérance pour encore, c’est lui qui nous rassemble,tournons-nous vers lui avec confiance. Litanie pénitentielle Seigneur Jésus, nous croyons en toimême si parfois notre foi est pitié de nous ! Ô Christ, nous te servons en servant les autresmême si parfois nous restons repliés sur pitié de nous ! Seigneur Jésus, nous veillons en attendant ton retourmême si parfois nous manquonsde constance et de pitié de nous ! Temps de la Parole LIVRE DE LA SAGESSE Sg 18, 6-9C’est l’amour de Dieu qui transforme et rend fort. C’est en effet parce qu’ils ont cru aux promesses de Dieu que les Hébreux n’ont pas été pris à l’improviste au cours de la nuit de la délivrance pascale. PSAUME 32 LETTRE AUX HEBREUX 11, 1-2. 8-19Il est recommandé de prendre la lecture entière. Dans un premier temps, elle nous invite à regarder vers Abraham qui a été la figure par excellence de tout un peuple qui a marché dans la foi. Dans un second temps, il est rappelé que c’est la foi qui doit soutenir la vigilance. ÉVANGILE SELON SAINT LUC 12, 32-48 HomélieTextes bibliques Lire En ce mois d’août, les lectures bibliques nous invitent à méditer sur l’attente de la venue du Seigneur. Nous ne devons jamais oublier qu’il est toujours fidèle à ses promesses. Cette bonne nouvelle, nous la trouvons tout au long de la Bible. Elle doit être pour chacun de nous source d’espérance et de joie. Pour comprendre la 1ère lecture, il faut se rappeler qu’autrefois, les Hébreux étaient esclaves en Egypte. Dieu les a fait “passer” vers la terre de liberté. La Pâque, c’est précisément ce passage de la mort à la vie. D’un côté, nous avons le sort des Hébreux ils sont libérés, ils quittent la terre où ils étaient esclaves. Face à eux, c’est le sort dramatique des Égyptiens et du pharaon leur violence s’est retournée contre eux ; le pouvoir oppresseur les a entraînés vers la mort. En faisant le choix de la violence et de l’oppression, ils ont provoqué eux-mêmes leur mort. Toutes les dictatures finissent ainsi. La bonne nouvelle, c’est cette révélation de Dieu libérateur. Désormais, son peuple sera celui de la nuit pascale en marche vers la lumière. Ce texte du livre de la Sagesse a été écrit bien plus tard pour des croyants tentés par le doute. En leur rappelant les merveilles que Dieu a accomplies dans les temps anciens, il veut raviver leur espérance. Les croyants ne doivent jamais perdre de vue le but de leur vie. La joie finira par l’emporter sur la peur. La vie vaincra la mort. La lettre aux Hébreux 2ème lecture se présente précisément comme un éloge de la foi des patriarches. Ces ancêtres sont un exemple pour les croyants. “La foi est une façon de posséder ce que l’on espère, un moyen de connaître ce que l’on ne voit pas”. Tous les grands personnages d’Israël ont été portés par cette foi. Ils étaient “tirés en avant pour un avenir mal connu”. Avec le Christ, nous sommes des voyageurs à la recherche d’une patrie. Lui-même nous a dit qu’il est “le Chemin, la Vérité et la Vie. Personne ne va au Père sans passer par lui. C’est là une bonne nouvelle qui doit raviver la foi des croyants affrontés au doute, à l’indifférence et à la persécution. Dans l’Évangile de ce dimanche, Jésus nous recommande de rester à “l’heure de Dieu”. Il insiste très fortement sur trois attitudes absolument essentielles veiller, se tenir prêts et servir. Ce sont là trois verbes bien connus qui risquent d’être dévalués. Pour comprendre cet Évangile, il faut connaître la situation des premiers chrétiens. Saint Luc a écrit son Évangile après Pâques. Il s’adresse à des chrétiens affrontés au doute. Ces derniers ont entendu dire que le Seigneur doit revenir dans la gloire pour nous emmener dans son Royaume. Or le temps passe et rien ne vient. Certains se demandent s’ils ne se seraient pas trompés. C’est là qu’il nous faut réentendre la réponse de Jésus. Il nous faut surtout la comprendre dans le contexte d’aujourd’hui. “VEILLEZ !” Oui, nous devons veiller sur nos mots, nos regards, nos gestes de tous les jours, nos lectures, nos loisirs… Nous connaissons les dégâts provoqués par une parole malveillante, un regard accusateur ou indifférent, un refus de tendre la main ou de serrer dans ses bras un malade en grande souffrance. Le veilleur c’est celui qui se tient debout. “Tenez-vous prêts” nous dit encore Jésus. Il s’agit de se tenir prêts pour aller de l’avant, pour sortir de la routine et des habitudes. Le risque est toujours de dire “On a toujours fait comme ça !” Il nous faut accepter que l’Esprit Saint nous sorte de notre confort et nous conduise sur des chemins que nous n’avions pas prévus. Le pape François nous invite à aller vers les “périphéries”, celles du chômage, celles de la solitude, celles des malades abandonnés par leur famille, celles des migrants qui n’ont plus rien et qui vivent parfois sans leurs enfants. Troisième consigne “Restez en tenue de service !” Servir c’est le contraire de dominer. Rappelons-nous du geste de Jésus au soir du Jeudi Saint il s’est agenouillé devant ses disciples pour leur laver les pieds. Il s’est toujours refusé de répondre à ceux qui voulaient le faire roi à la manière des hommes. Il nous apprend à servir sans prendre la place des autres, sans décider à leur place. C’est important pour nous dans nos familles, au travail, dans nos associations. Nous avons facilement des bonnes raisons de penser que nous savons mieux ce qui est bon pour l’autre. Le serviteur fidèle n’est pas celui qui s’impose mais celui qui s’efface pour permettre à l’autre de grandir. L’Eucharistie est vraiment le moment où “Dieu est là pour nous servir, pour nous faire passer à table”. C’est l’heure où le Fils de l’Homme est glorifié. Seigneur Jésus, tu nous promets un avenir de joie et de lumière auprès de toi. Garde-nous vigilants dans l’espérance, ouverts et accueillants aux signes de l’Esprit Saint. Alors ta venue, loin de nous surprendre, sera notre bonheur pour les siècles des siècles. Amen Télécharger 19ème dimanche du temps ordinaire Sources Revues Feu Nouveau et Fiches dominicales, Missel communautaire, Pour la célébration Eucharistique Feder et Gorius, lectures bibliques des dimanches A. Vanhoye, Semainier chrétien Prière universelle Invitation. Ensemble, présentons au Seigneur, Dieu de lumière, toutes les intentions de notre humanité, de notre Église, de nos communautés et de nos familles. Refrain Toi qui es lumière, toi qui es l’amour, mets dans nos ténèbres ton Esprit d’amour. Pistes pour les intentions. Seigneur, donne à tous les responsables de ton Église cette vigilance attentive, toujours présente, pour soutenir la marche de tes enfants, à ta suite, dans la foi. R / Seigneur, donne à tous les hommes et femmes de bonne volonté de découvrir la vigilance pour transformer ce monde en une terre où l’amour sera toujours plus fort que la haine. R / Seigneur, suscite des hommes et des femmes sachant prendre la tenue de service pour devenir les veilleurs actifs d’un monde plus fraternel et plus humain. R / Seigneur, fais que tous les chrétiens soient des veilleurs soucieux de communiquer la lumière de ta Bonne Nouvelle à tous ceux qui marchent dans la nuit. R / ConclusionOui, Seigneur, accueille notre prière pour toute notre humanité et fais de nous tous des veilleurs dans la foi. Par le Christ, notre Seigneur. Amen
Il n’y a pas de réalité plus universelle que la mort. Nous devons faire face à la mort de personnes qui nous sont très chères, et chacun de nous doit faire face à la certitude de sa propre mort. Dans certaines cultures on évite à tout prix d’en parler ou d’y penser. C’est un sujet qui met beaucoup de gens mal à l’aise. La mort provoque souvent la peur, le désespoir, la tristesse profonde et un sens de futilité. Même ceux dont l’existence sur terre est devenue très pénible à cause de la douleur, la solitude, ou d’autres circonstances difficiles souhaitent rarement que la mort vienne plus vite. Ils s’accrochent à la vie de façon tenace. Et quand la mort frappe nos bien-aimés, on réagit tantôt avec des pleurs et d’autres manifestations de détresse émotionnelle, tantôt dans l’engourdissement, tantôt dans la colère ou l’indignation. Sur le plan émotionnel, le chrétien peut ressentir dans un premier temps les mêmes émotions que quiconque lorsque la mort le menace ou lui arrache, surtout de façon inattendue, une personne qu’il aime. Mais quand sa foi aura repris le dessus, quelle sera son attitude à l’égard de la mort? Jésus-Christ a-t-il changé de façon fondamentale notre manière de penser et même de réagir émotionnellement à cette réalité universelle qu’est la mort? Sa résurrection a tout changé L’apôtre Paul affirma que notre Sauveur Jésus-Christ… a détruit la mort et a mis en évidence la vie et l’immortalité par l’Évangile» 2 Timothée Le Christ a détruit, ou aboli, la mort, non en faisant que les hommes ne meurent plus, mais en démontrant que la mort n’est pas l’état final de l’homme. La résurrection de Jésus garantit la nôtre 1 Corinthiens Jésus s’est montré plus puissant que la mort, et il nous dit que le jour vient où tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix et en sortiront. Ceux qui auront fait le bien ressusciteront pour la vie, mais ceux qui auront fait le mal ressusciteront pour le jugement» Jean Ceux qui vécurent sous l’Ancien Testament n’avaient pas cette conception claire et certaine de la vie après la mort. La souffrance de Job était aggravée par son ignorance sur ce point. Il dit Un arbre a de l’espérance Quand on le coupe, il repousse, il produit encore des rejetons; quand sa racine a vieilli dans la terre, quand son tronc meurt dans la poussière, il reverdit à l’approche de l’eau, il pousse des branches comme une jeune plante. Mais l’homme meurt, et il perd sa force; l’homme expire, et où est-il? Les eaux des lacs s’évanouissent, les fleuves tarissent et se dessèchent; ainsi l’homme se couche et ne se relèvera plus, il ne se réveillera pas tant que les cieux subsisteront, il ne sortira pas de son sommeil… Si l’homme une fois mort pouvait revivre, j’aurais de l’espoir tout le temps de mes souffrances, jusqu’à ce que mon état vînt à changer.» Job Job dit que l’homme n’est pas comme l’arbre qu’on abat et qui peut éventuellement repousser. Il ne croyait ni à la résurrection ni à la réincarnation. Il ne croyait pas non plus que l’homme cesse d’exister lorsqu’il meurt, mais que son existence triste dans le séjour des morts, un monde d’ombres, ne permettrait pas la sorte d’activité qui glorifie Dieu voir Ésaïe Dieu n’avait pas clairement révélé au temps de Job l’idée de la résurrection, telle que nous la connaissons dans le Nouveau Testament. L’idée s’éclaircissait quand même au cours des siècles de l’histoire juive Daniel et au premier siècle beaucoup de Juifs, tels les pharisiens, croyaient fermement à la résurrection des morts Actes Jean Les sadducéens contestaient cette idée Luc mais l’Évangile et la résurrection de Jésus lui-même ont mis fin à ce débat pour toujours Jésus notre Seigneur a mis en évidence la vie et l’immortalité par l’Évangile» 2 Tim. Il est clair que le chrétien est très béni par la victoire de Jésus sur la mort. En parlant de notre résurrection future, l’apôtre Paul écrit en 1 Corinthiens Lorsque ce corps corruptible aura revêtu l’incorruptibilité, et que ce corps mortel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira la parole qui est écrite La mort a été engloutie dans la victoire. Ô mort, où est ta victoire? Ô mort, où est ton aiguillon? L’aiguillon de la mort, c’est le péché; et la puissance du péché, c’est la loi. Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ!» Puisqu’il en est ainsi, il y a certaines réactions à la mort qui sont très répandues parmi les gens du monde, mais qui ne sont pas très raisonnables chez le chrétien. Ed Ritchie exprime cette idée dans le cantique, Seigneur, dans ma souffrance», où le chrétien s’adresse à lui-même en ces termes Âme faible et craintive, Pourquoi donc te troubler? Quand tu n’es plus captive, Comment peux-tu trembler? Laisse aux enfants du monde Les soucis et les pleurs; Voyons donc trois attitudes ou comportements, qui n’ont plus vraiment de place en nous qui sommes en Jésus-Christ. Ne pas craindre Avant la mort et la résurrection de Jésus, Satan avait comme arme la puissance de la mort», mais Jésus est venu dans le monde afin qu’il délivrât tous ceux qui, par crainte de la mort, étaient toute leur vie retenus dans la servitude» Hébreux La peur de mourir opprime les hommes, mais elle les fait tomber dans de nombreux péchés, aussi. Parce qu’on a peur de mourir, on se tait quand il faudrait élever la voix pour s’opposer à l’injustice; on reste au loin quand la compassion devrait motiver à s’approcher pour servir les malades, les prisonniers, ou ceux qui se trouvent en divers dangers. Parce qu’on a peur de la mort, on a recours aux praticiens occultes – les marabouts en Afrique de l’ouest, les guérisseurs païens en divers pays, les houngans en Haïti – et l’on commet ainsi une grave infidélité contre Dieu. Par peur de la mort, on renie son Seigneur, comme l’apôtre Pierre l’a fait Luc Toutes sortes de tentations perdent leur force quand l’homme n’a plus peur de la mort. D’où vient cette crainte de la mort? Peut-être qu’on a peur de l’inconnu; peut-être qu’on a peur de perdre ce qu’on aime ses conforts, ses proches, son activité dans le monde, les choses pour lesquelles on a tant lutté pendant sa vie; peut-être qu’on a peur de la condamnation au dernier jugement. Le chrétien fidèle sait que, grâce au Seigneur Jésus, il a la promesse de la vie éternelle avec Dieu. Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ» Romains Jésus dit En vérité, en vérité, je vous dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement sous la condamnation, mais il est passé de la mort à la vie» Jean Si nous croyons vraiment à cette bonne nouvelle que nous prêchons, nous pourrons avoir l’attitude exprimée par l’apôtre Paul Christ est ma vie, et la mort m’est un gain. Mais s’il est utile pour mon œuvre que je vive dans la chair, je ne saurais dire ce que je dois préférer. Je suis pressé des deux côtés; j’ai le désir de m’en aller et d’être avec Christ, ce qui de beaucoup est le meilleur; mais à cause de vous il est plus nécessaire que je demeure dans la chair» Philippiens Paul n’avait peur ni de ce que la vie lui réservait, ni de la mort. Mais à cause de sa foi aux promesses de Dieu, il était convaincu que la mort était préférable. Au lieu de l’éviter à tout prix, il était prêt à accueillir la mort avec joie quand le Seigneur déciderait que le moment était venu. Dans un autre passage il exprime la même confiance, celle que tout chrétien fidèle devrait démontrer dans sa vie Nous savons, en effet, que, si cette tente ou nous habitons sur la terre notre corps est détruite, nous avons dans le ciel un édifice qui est l’ouvrage de Dieu, une demeure éternelle qui n’a pas été faite de main d’homme. Aussi nous gémissons dans cette tente, désirant revêtir notre domicile céleste… Nous sommes donc toujours pleins de confiance, et nous savons qu’en demeurant dans ce corps nous demeurons loin du Seigneur» 2 Corinthiens Ne pas s’affliger comme les autres Quand une personne que nous avons aimée vient à mourir, il est normal de ressentir de la tristesse, car nous éprouvons une sorte de perte. Même si nous ne connaissions pas intimement le défunt, la douleur que nous lisons dans les visages de ses proches peut nous toucher et faire couler quelques larmes. Quand Jésus se trouvait devant le tombeau de son ami, Lazare, bien qu’il sache fort bien qu’il allait ressusciter Lazare quelques instants après, le Seigneur pleura Jean C’était normal Jésus était plein de compassion. Quand Étienne, le premier martyr chrétien, fut lapidé à mort, la Bible dit que des hommes pieux ensevelirent Étienne, et le pleurèrent à grand bruit» Actes C’était un homme de bien, et il avait été tué par une foule en furie pour avoir eu le courage de dire la vérité. Il était normal d’avoir un sentiment navré et amer devant une telle injustice, devant la mort gratuite d’un tel homme. Malgré la tristesse naturelle que nous ne voulons pas rejeter, il devrait y avoir une différence profonde entre la réaction des chrétiens à l’égard de la mort de l’un des leurs, et la réaction des non-chrétiens face à la mort. Paul dit en 1 Thessaloniciens Nous ne voulons pas, frères, que vous soyez dans l’ignorance au sujet de ceux qui dorment, afin que vous ne vous affligiez pas comme les autres qui n’ont pas d’espérance.» Après avoir rassuré ses lecteurs qu’au retour de Jésus-Christ les morts ressusciteront et que nous serons toujours avec le Seigneur, il ajoute Consolez-vous donc les uns les autres par ces paroles» 1 Thessaloniciens La mort ne représente pour nous chrétiens qu’une séparation temporaire de nos bien-aimés en Christ. En plus, nous trouvons du réconfort dans la confiance que ceux qui nous ont devancés ne souffrent pas; au contraire, ils sont bénis Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur! Oui, dit l’Esprit, afin qu’ils se reposent de leurs travaux, car leurs œuvres les suivent» Apocalypse Tout comme notre espérance chrétienne vainc la peur, elle adoucit la tristesse. Ne pas se fâcher Une autre réaction à la mort qui ne devrait pas caractériser le chrétien, c’est la colère contre Dieu. Il est vrai qu’il y a des situations où Dieu fait ou permet des choses que nous ne comprenons pas, des choses qui suscitent en nous une forte douleur émotionnelle. Nous lui avons prié d’épargner la vie de notre enfant, mais l’enfant est quand même décédé. Un désastre, tel qu’une inondation ou un tremblement de terre, ou bien une guerre, a provoqué la mort de quelques dizaines de milliers de personnes, et nous nous demandons pourquoi Dieu n’est pas intervenu pour les sauver. Un conducteur soûl provoque un accident dans lequel un chrétien fidèle perd la vie, tandis que celui qui était en faute en sort indemne. Celui qui ne mérite» pas la mort est fauché par elle; quant à celui qui ne mérite pas de vivre ou qui n’a plus vraiment envie de vivre, il survit. Certaines personnes qui sont touchées par ces situations qui nous semblent tellement injustes, se rebellent contre Dieu. Elles se fâchent contre lui et l’accusent. Une femme m’a dit tout récemment qu’elle avait perdu son père quand il n’avait que 39 ans et qu’elle était encore petite trois ans. On lui avait dit que le Seigneur avait pris» son papa, ce qui l’avait rendu amère envers Dieu pendant des années. Elle me disait qu’on pouvait dire que le défunt était avec le Seigneur» mais qu’on ne devait jamais dire que le Seigneur avait pris» la personne. Elle peut très bien avoir raison de ne pas employer certains termes avec de jeunes enfants qui, bien sûr, ne sont pas en mesure de comprendre comme des adultes. Mais une grande personne devrait reconnaître ce que dit le Créateur et le Souverain de l’univers Sachez donc que c’est moi qui suis Dieu, et qu’il n’y a point de dieu près de moi; je fais vivre et je fais mourir, je blesse et je guéris, et personne ne délivre de ma main» Deutéronome Gardons-nous de condamner les décisions de l’Omniscient. Nous ne savons pas ce qu’il sait. Qu’il condamne ou qu’il pardonne, qu’il bénisse ou qu’il envoie l’épreuve, nous ne sommes pas qualifiés pour lui dire qu’il a mal fait. Sa parole nous rappelle Car mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos voies ne sont pas mes voies, dit l’Éternel. Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, et mes pensées au-dessus de vos pensées» Ésaïe Non seulement Dieu est omniscient, mais il est le Créateur de toutes choses et de plein droit le Maître incontesté de l’univers. Plus que quiconque, nous les chrétiens devrions accepter son autorité et nous soumettre humblement à ses décisions. Dans un autre numéro nous avons paraphrasé ce que Dieu dit à Job, qui, dans sa souffrance avait dit des choses très osées Job, le fait que tu souffres ne te donne pas le droit de me blâmer, et ne te dispense pas du devoir de t’approcher de moi dans l’humilité et la soumission. Je n’ai aucun besoin de me justifier devant un être humain, et je ne te donnerai pas d’explications simplement parce que tu en as réclamées.» La Bible dit en Actes David, après avoir en son temps servi au dessein de Dieu, est mort [et] a été réuni à ses pères.» C’est Dieu qui décide quand une personne a fini de servir à son dessein et peut s’en aller pour recevoir sa récompense éternelle. Mais ce n’est pas simplement parce que nous reconnaissons l’autorité de Dieu que nous pouvons accepter ses décisions concernant la vie et la mort; nous avons, en plus, l’assurance de sa justice et de son amour. En Romains Paul dit Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous.» Quoiqu’il arrive dans notre vie, nous pouvons être certains d’une chose Dieu nous aime. Quand le malheur frappe, on est tenté de dire Pourquoi Dieu ne m’aime-t-il pas? S’il m’aimait, il ne permettrait pas une telle tragédie dans ma vie.» Il se peut que nous ne comprenions jamais pourquoi tel événement douloureux s’est produit, mais une chose est sûre Si Dieu ne nous aimait pas, il n’aurait jamais envoyé son Fils unique pour qu’on le maltraite et l’humilie, pour qu’il souffre et meure sur une croix à notre place. Un tel amour est insondable et indéniable. Dieu a le droit d’appeler en jugement n’importe qui à n’importe quel moment. Il n’agit pas injustement quand il le fait. Supposez que Dieu fait mourir» un jeune chrétien qui avait devant lui, à nos yeux, toute une vie de joie et de service à rendre dans l’Église. Nous pouvons être sûrs que ce jeune ne se lamentera pas dans l’au-delà de tout ce qu’il n’a pas eu l’occasion de vivre ici sur la terre. Comme Paul l’a dit J’ai le désir de m’en aller et d’être avec Christ, ce qui de beaucoup est le meilleur» Phil. Pèlerins sur cette terre Une idée qui revient souvent dans la Parole de Dieu est que nous sommes de passage dans ce monde et que nous ne devons pas trop nous y attacher. Bien-aimés, je vous exhorte, comme étrangers et voyageurs sur la terre, à vous abstenir des convoitises charnelles qui font la guerre à l’âme» 1 Pierre Car nous n’avons point ici-bas de cité permanente, mais nous cherchons celle qui est à venir» Hébreux Ils ne pensent qu’aux choses de la terre. Mais notre cité à nous est dans les cieux, d’où nous attendons aussi comme Sauveur le Seigneur Jésus-Christ» Philippiens Ne vous amassez pas des trésors sur la terre, où la teigne et la rouille détruisent, et où les voleurs percent et dérobent; mais amassez-vous des trésors dans le ciel… Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur» Matthieu Nous rappeler que nous sommes là pour peu de temps nous aide à fixer les yeux sur notre destination finale et à supporter les difficultés et les privations de cette vie, sachant que les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous» Romains Conclusion Parfois, on entend quelqu’un parler d’une situation où une vie a été en danger. Si la personne n’est pas morte, même si elle a été blessée ou doit se contenter d’une santé qui sera toujours fragile, on se console en disant qu’elle a pu éviter le pire». Certes, il y a dans une telle situation de quoi remercier Dieu. En même temps, le chrétien devrait reconnaître que la mort n’est pas du tout le pire» qui puisse arriver; au contraire, elle permet au fidèle d’entrer dans un bonheur parfait et éternel. Le pire, c’est le fait de mourir dans un état de rébellion contre son Dieu. Ce n’est que dans le cas où il vit dans l’infidélité que le chrétien devrait craindre la mort. Ce n’est donc pas la mort qui est l’ennemi; c’est le péché. La réalité de la mort tout autour de nous devrait nous amener à vivre de telle manière que nous soyons prêts pour le jugement. La philosophie du monde est Mangeons et buvons, car demain nous mourrons» 1 Cor. La philosophie des chrétiens est que la mort est pour eux un gain, mais elle leur rappelle aussi l’urgence de la mission que Dieu leur confie tant qu’ils sont sur la terre Nous sommes pleins de confiance, et nous aimons mieux quitter ce corps et demeurer auprès du Seigneur. C’est pour cela aussi que nous nous efforçons de lui être agréables, soit que nous demeurions dans ce corps, soit que nous le quittions. Car il nous faut tous comparaître devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon le bien ou le mal qu’il aura fait, étant dans son corps. Connaissant donc la crainte du Seigneur, nous cherchons à convaincre les hommes» 2 Corinthiens
4 juin 2022 Je soutiens le Journal Chrétien Sois fidèle jusqu’à la mort et je te donnerai la couronne de vie. Apocalypse 2. 10 Ils n’ont pas aimé leur vie, même jusqu’à la mort. Apocalypse 12. 11 Deux frères martyrs Haik H., un Arménien de 22 ans, décide de consacrer sa vie au service des chrétiens. En 1980, il est actif parmi les croyants à Téhéran, où il est interdit d’évangéliser les musulmans, mais Haik refuse de céder aux pressions “Qu’ils nous jettent en prison ou nous fassent mourir pour notre foi, nous ne nous plierons pas à ces exigences”. Mehdi D. a été l’un des nombreux chrétiens d’arrière-plan musulman. En 1983, il est arrêté et jeté en prison pour dix ans. Là, on veut le forcer à renier sa foi, mais Mehdi peut dire “Non seulement je suis heureux d’être en prison pour l’honneur de son saint Nom, mais en plus je suis prêt à donner ma vie pour Jésus, mon Seigneur”. En 1993, dans un tribunal secret, Mehdi est condamné à mort pour avoir renié l’islam. Mais Haik apprend sa condamnation et la dénonce publiquement. La communauté internationale s’empare de l’affaire, et le 16 janvier 1994, Mehdi est libéré. Trois jours plus tard, Haik est kidnappé en pleine rue à Téhéran. Son corps sera retrouvé sans vie… Lors de l’inhumation, Mehdi, en larmes, s’adresse ainsi à la foule “Lorsque notre frère Haik a été tué, je savais que c’était moi qui aurais dû mourir, pas lui”. Six mois plus tard, Mehdi rejoint son frère Haik son corps poignardé est retrouvé dans un parc de Téhéran… Ces deux frères martyrs, l’un d’origine arménienne, l’autre, musulmane, ont été des modèles de foi qui ont encouragé bien des chrétiens iraniens. “Souvenez-vous de vos conducteurs qui vous ont annoncé la parole de Dieu…, imitez leur foi” Hébreux 13. 7. Source Calendrier Le Seigneur est proche – Bibles et Publications Chrétiennes – Achetez Le Seigneur est proche en cliquant ici. Le Journal Chrétien est un média d’espérance qui passe l’information au tamis de l’Évangile. 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Mon commandant, mon ancien,Ils sont là, ils sont tous présents, qu’ils soient vivants ou disparus, oubliés de l’histoire ou célèbres, croyants, agnostiques ou incroyants, souffrant ou en pleine santé, jeunes soldats ou anciens combattants, civils ou militaires, ils sont tous présents, si ce n’est pas avec leur corps, c’est par leur coeur ou par leur âme ! Tous ceux qui, un jour, ont croisé votre chemin, ou ont fait avec vous une partie de votre route ou plutôt de votre incroyable destinée, sont regroupés autour de vous les lycéens de Bordeaux, les résistants du réseau Jade-Amicol, les déportés du camp de Langenstein, vos frères d’armes, vos légionnaires que vous avez menés au combat, ceux qui sont morts dans l’anonymat de la jungle ou l’indifférence du pays, les enfants de Talung que vous avez dû laisser derrière vous, les harkis abandonnés puis livrés aux mains du FLN ! Je n’oublie pas vos parents et votre famille, qui ont partagé vos joies et vos épreuves ; il faut ajouter à cette longue liste, les jeunes générations, qui n’ont connu, ni la Guerre de 40, ni l’Indochine, pas plus que l’Algérie, mais qui ont dévoré vos livres, qui vous ont écouté et que vous avez marqués profondément ! Cette liste ne serait pas complète, si n’était pas évoquée la longue cohorte des prisonniers, des déchus, des petits et des sans-grades, les inconnus de l’histoire et des médias, ceux que vous avez croisés, écoutés, respectés, défendus, compris et aimés et dont vous avez été l’avocat. Eux tous s’adressent à vous aujourd’hui, à travers ces quelques mots et, comme nous en étions convenus la dernière fois que nous nous sommes vus et embrassés chez vous, je ne servirai que d’interprète, à la fois fidèle, concis et surtout Hélie, notre compagnon fidèle, c’est vous qui nous quittez, emportant avec vous vos souvenirs et surtout vos interrogations et vos mystères ; vous laissez chacun de nous, à la fois heureux et fier de vous avoir rencontré, mais triste et orphelin de devoir vous quitter. Vous laissez surtout chacun de nous, seul face à sa conscience et face aux interrogations lancinantes et fondamentales qui ont hanté votre vie, comme elles hantent la vie de tout honnête homme, qui se veut à la fois homme d’action et de réflexion, et qui cherche inlassablement à donner un sens à son geste !Parmi tous ces mystères, l’un d’eux ne vous a jamais quitté. Il a même scandé votre vie ! C’est celui de la vie et de la mort. Car qui d’autres mieux que vous, aurait pu dire, écrire, prédire ou reprendre à son compte ce poème d’Alan Seeger, cet Américain, à la fois légionnaire et poète, disparu à 20 ans dans la tourmente de 1916 j’ai rendez-vous avec la mort » ?C’est à 10 ans que vous avez votre premier rendez-vous avec la mort, quand gravement malade, votre maman veille sur vous, nuit et jour ; de cette épreuve, vous vous souviendrez d’elle, tricotant au pied de votre lit et vous disant Tu vois Hélie, la vie est ainsi faite comme un tricot il faut toujours avoir le courage de mettre un pied devant l’autre, de toujours recommencer, de ne jamais s’arrêter, de ne jamais rien lâcher ! » Cette leçon d’humanité vous servira et vous sauvera quelques années plus tard en camp de concentration. Votre père, cet homme juste, droit et indépendant, qui mettait un point d’honneur durant la guerre, à saluer poliment les passants, marqués de l’étoile jaune, participera aussi à votre éducation ; il vous dira notamment de ne jamais accrocher votre idéal, votre étoile personnelle’’ à un homme, aussi grand fût-il ! De l’époque de votre jeunesse, vous garderez des principes stricts et respectables, que les aléas de la vie ne vont pourtant pas ménager ; c’est bien là votre premier mystère d’une éducation rigoureuse, fondée sur des règles claires, simples et intangibles, que la vie va vous apprendre à relativiser, dès lors qu’elles sont confrontées à la réalité !Puis, à 20 ans, vous aurez votre deuxième rendez-vous avec la mort ! Mais cette fois-ci, vêtu d’un méchant pyjama rayé, dans le camp de Langenstein. Deux ans de déportation mineront votre santé et votre survie se jouera à quelques jours près, grâce à la libération du camp par les Américains. Mais votresurvie se jouera aussi par l’aide fraternelle d’un infirmier français qui volait des médicaments pour vous sauver d’une pneumonie, puis celle d’un mineur letton, qui vous avait pris en affection et qui chapardait de la nourriture pour survivre et vous aider à supporter des conditions de vie et de travail inhumaines. En revanche, vous refuserez toujours de participer à toute forme d’emploi administratif dans la vie ou l’encadrement du camp d’internement, ce qui vous aurait mis à l’abri du dénuement dans lequel vous avez vécu. Vous y connaitrez aussi la fraternité avec ses différentes facettes d’un côté, celle du compagnon qui partage un quignon de pain en dépit de l’extrême pénurie, du camarade qui se charge d’une partie de votre travail malgré la fatigue, mais de l’autre, les rivalités entre les petites fraternités qui se créaient, les cercles, les réseaux d’influence, les mouvements politiques ou les nationalités…. Mystère, ou plutôt misère, de l’homme confronté à un palier de souffrances tel qu’il ne s’appartient plus ou qu’il perd ses références intellectuelles, humaines et morales !Vous avez encore eu rendez-vous avec la mort à 30 ans, cette fois, à l’autre bout du monde, en Indochine. Vous étiez de ces lieutenants et de ces capitaines, pour lesquels de Lattre s’était engagé jusqu’à l’extrême limite de ses forces, comme sentinelles avancées du monde libre face à l’avancée de la menace communiste. D’abord à Talung, petit village à la frontière de Chine, dont vous avez gardé pieusement une photo aérienne dans votre bureau de Lyon. Si les combats que vous y avez mené n’eurent pas de dimension stratégique, ils vous marquèrent profondément et définitivement par leur fin tragique contraint d’abandonner la Haute région, vous avez dû le faire à Talung, sans préavis, ni ménagement ; ainsi, vous et vos légionnaires, quittèrent les villageois, en fermant les yeux de douleur et de honte ! Cette interrogation, de l’ordre que l’on exécute en désaccord avec sa conscience, vous hantera longtemps, pour ne pas dire toujours ! Plus tard, à la tête de votre Compagnie du 2° Bataillon étranger de parachutistes, vous avez conduit de durs et longs combats sous les ordres d’un chef d’exception, le chef d’escadron RAFFALLI Nhia Lo, la Rivière Noire, Hoa Binh, Nassan, la Plaine des Jarres. Au cours de ces combats, à l’instar de vos compagnons d’armes ou de vos aînés, vous vous sentiez invulnérables ; peut-être même, vous sentiez-vous tout permis, parce que la mort était votre plus proche compagne une balle qui vous effleure à quelques centimètres du coeur, votre chef qui refuse de se baisser devant l’ennemi et qui finit pas être mortellement touché ; Amilakvari et Brunet de Sairigné vous avaient montré le chemin, Segrétain, Hamacek, Raffalli et plus tard Jeanpierre, Violès, Bourgin, autant de camarades qui vous ont quitté en chemin. Parmi cette litanie, on ne peut oublier, votre fidèle adjudant d’unité, l’adjudant Bonnin, qui vous a marqué à tel point, que, plus tard, vous veillerez à évoquer sa personnalité et sa mémoire durant toutes vos conférences ! Et avec lui, se joignent tous vos légionnaires, qui ont servi honnêtes et fidèles, qui sont morts, dans l’anonymat mais face à l’ennemi, et pour lesquels vous n’avez eu le temps de dire qu’une humble prière. Tel est le mystère de la mort au combat, qui au même moment frappe un compagnon à vos côtés et vous épargne, pour quelques centimètres ou une fraction de seconde !10 ans plus tard, vous aurez encore rendez-vous avec la mort ! Mais cette fois-ci, ce ne sera pas d’une balle perdue sur un champ de bataille, mais de 12 balles dans la peau, dans un mauvais fossé du Fort d’Ivry. En effet, vous veniez d’accomplir un acte grave, en vous rebellant contre l’ordre établi et en y entraînant derrière vous une unité d’élite de légionnaires, ces hommes venus servir la France avec honneur et fidélité. Or retourner son arme contre les autorités de son propre pays reste un acte très grave pour un soldat ; en revanche, le jugement qui sera rendu - 10 ans de réclusion pour vous et le sursis pour vos capitaines - montre qu’en dépit de toutes les pressions politiques de l’époque, en dépit des tribunaux d’exception et en dépit de la rapidité du jugement, les circonstances atténuantes vous ont été reconnues. Elles vous seront aussi été reconnues 5 ans après, quand vous serez libéré de prison, comme elles vous seront encore reconnues quelques années plus tard quand vous serez réhabilité dans vos droits ; elles vous seront surtout reconnues par la nation et par les médias à travers le succès éblouissant de vos livres, celui de vos nombreuses conférences et par votre témoignage d’homme d’honneur. Ces circonstances atténuantes se transformeront finalement en circonstances exceptionnelles, lorsque, 50 ans plus tard, en novembre 2011, le Président de la République en personne vous élèvera à la plus haute distinction de l’Ordre de la Légion d’Honneur ; au cours de cette cérémonie émouvante, qui eut lieu dans le Panthéondes soldats, nul ne saura si l’accolade du chef des armées représentait le pardon du pays à l’un de ses grands soldats ou bien la demande de pardon de la République pour avoir tant exigé de ses soldats à l’époque de l’Algérie. Le pardon, par sa puissance, par son exemple et surtout par son mystère, fera le reste de la cérémonie !….Aujourd’hui, vous nous laissez l’exemple d’un soldat qui eut le courage, à la fois fou et réfléchi, de tout sacrifier dans un acte de désespoir pour sauver son honneur ! Mais vous nous quittez en sachant que beaucoup d’officiers ont aussi préservé leur honneur en faisant le choix de la discipline. Le mot de la fin, si une fin il y a, car la tragédie algérienne a fait couler autant d’encre que de sang, revient à l’un de vos contemporains, le général de Pouilly, qui, au cours de l’un des nombreux procès qui suivirent, déclara, de façon magistrale et courageuse, devant le tribunal Choisissant la discipline, j’ai également choisi de partager avec la Nation française la honte d’un abandon… Et pour ceux qui, n’ayant pas pu supporter cette honte, se sont révoltés contre elle, l’Histoire dira sans doute que leur crime est moins grand que le nôtre » !Et puis, quelque 20 ans plus tard, alors que, depuis votre sortie de prison, vous aviez choisi de garder le silence, comme seul linceul qui convienne après tant de drames vécus, alors que vous aviez reconstruit votre vie, ici même à Lyon, vous êtes agressé un soir dans la rue par deux individus masqués, dont l’un vous crie, une fois que vous êtes à terre Tais-toi ! On ne veut plus que tu parles ! » Cette agression survenait après l’une de vos rares interventions de l’époque ; elle agira comme un électrochoc et vous décidera alors à témoigner de ce que vous avez vu et vécu à la pointe de tous les drames qui ont agité la France au cours du XXème siècle. Ainsi, au moment où vous comptiez prendre votre retraite, vous allez alors commencer, une 3° carrière d’écrivain et de conférencier. Alors que le silence que vous aviez choisi de respecter, vous laissait en fait pour mort dans la société française, ce nouvel engagement va vous redonner une raison de vivre et de combattre ! Toujours ce mystère de la vie et de la mort ! Au-delà des faits et des drames que vous évoquerez avec autant d’humilité que de pudeur, vous expliquerez les grandeurs et les servitudes du métier des armes et plus largement de celles de tout homme. A l’égard de ceux qui ont vécu les mêmes guerres, vous apporterez un témoignage simple, vrai, poignant et dépassionné pour expliquer les drames vécus par les soldats, qui, dans leur prérogative exorbitante de gardien des armes de la cité et de la force du pays, sont en permanence confrontés aux impératifs des ordres reçus, aux contraintes de la réalité des conflits et aux exigences de leur propre conscience, notamment quand les circonstances deviennent exceptionnellement dramatiques. A l’égard des jeunes générations, qui n’ont pas connu ces guerres, ni vécu de telles circonstances, mais qui vous ont écouté avec ferveur, vous avez toujours évité de donner des leçons de morale, ayant vous-même trop souffert quand vous étiez jeune, des tribuns qui s’indignaient sans agir, de ceux qui envoyaient les jeunes gens au front en restant confortablement assis ou de notables dont la prudence excessive servait d’alibi à l’absence d’engagement. Vous êtes ainsi devenu une référence morale pour de nombreux jeunes, qu’ils fussent officiers ou sous-officiers ou plus simplement cadres ou homme de dans les dernières années de votre vie, vous avez aussi eu plusieurs rendez-vous avec la mort, car votre carcasse » comme vous nous le disiez souvent, finissait pas vous jouer des tours et le corps médical, avec toute sa compétence, sa patience et son écoute, ne pouvait plus lutter contre les ravages physiques des années de déportation, les maladies contractées dans la jungle indochinoise et les djebels algériens, les conséquences des années de campagnes, d’humiliation ou de stress. Pourtant, vous avez déjoué les pronostics et vous avez tenu bon, alors que vous accompagniez régulièrement bon nombre de vos frères d’armes à leur dernière demeure ! Là encore, le mystère de la vie et de la mort vous collait à la puis, aujourd’hui, Hélie, notre ami, vous êtes là au milieu de nous ; vous, l’homme de tous les conflits du XXème siècle, vous vous êtes endormi dans la paix du Seigneur en ce début du XXIème siècle, dans votre maison des Borias que vous aimiez tant, auprès de Manette et de celles et ceux qui ont partagé l’intimité de votre Hélie, êtes-vous réellement mort ? Bien sûr, nous savons que nous ne croiserons plus vos yeux d’un bleu indéfinissable ! Nous savons que nous n’écouterons plus votre voix calme, posée et déterminée ! Nous savons aussi que, lors de nos prochaines étapes à Lyon, seule Manette nous ouvrira la porte et nous accueillera ! Nous savons aussi que vos écrits sont désormais achevés !Mais, Hélie, à l’instar de tous ceux qui sont ici présents, nous avons envie nous écrier, comme cet écrivain français Mort, où est ta victoire ? »Mort, où est ta victoire, quand on a eu une vie aussi pleine et aussi intense, sans jamais baisser les bras et sans jamais renoncer ?Mort, où est ta victoire, quand on n’a cessé de frôler la mort, sans jamais chercher à se protéger ?Mort, où est ta victoire, quand on a toujours été aux avant-gardes de l’histoire, sans jamais manqué à son devoir ?Mort, où est ta victoire, quand on a su magnifier les valeurs militaires jusqu’à l’extrême limite de leur cohérence, sans jamais défaillir à son honneur ?Mort, où est ta victoire, quand on s’est toujours battu pour son pays, que celui-ci vous a rejeté et que l’on est toujours resté fidèle à soi-même ?Mort, où est ta victoire, quand après avoir vécu de telles épreuves, on sait rester humble, mesuré et discret ?Mort, où est ta victoire, quand son expérience personnelle, militaire et humaine s’affranchit des époques, des circonstances et des passions et sert de guide à ceux qui reprendront le flambeau ?Mort, où est ta victoire, quand après avoir si souvent évoqué l’absurde et le mystère devant la réalité de la mort, on fait résolument le choix de l’Espérance ?Hélie, notre frère, toi qui a tant prôné l’Espérance, il me revient maintenant ce vieux chant scout que tu as dû chanter dans ta jeunesse et sans doute plus tard, et que tous ceux qui sont présents pourraient entonner Ce n’est qu’un au revoir, mon frère ! Ce n’est qu’un au revoir ! Oui, nous nous reverrons Hélie ! Oui, nous nous reverrons » !Oui, Hélie, oui, nous nous reverrons à l’ombre de Saint Michel et de Saint Antoine, avec tous tes compagnons d’armes, en commençant par les plus humbles, dans un monde sans injure, ni parjure, dans un monde sans trahison, ni abandon, dans un monde sans tromperie, ni mesquinerie, dans un monde de pardon, d’amour et de vérité !A Dieu, Hélie….A Dieu, Hélie et surtout merci ! Merci d’avoir su nous guider au milieu des champs de braise ! »
1 Thessaloniciens 4/ 13-1813 Nous ne voulons pas, frères et sœurs, que vous soyez dans l’ignorance au sujet de ceux qui sont morts, afin que vous ne soyez pas dans la tristesse comme les autres, qui n’ont pas d’ En effet, si nous croyons que Jésus est mort et qu’il est ressuscité, nous croyons aussi que Dieu ramènera par Jésus et avec lui ceux qui sont Voici ce que nous vous déclarons d’après la parole du Seigneur nous les vivants, restés pour le retour du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui sont En effet, le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange et au son de la trompette de Dieu, descendra du cielet ceux qui sont morts en Christ ressusciteront d’ Ensuite, nous qui serons encore en vie, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Encouragez-vous donc les uns les autres par ces paroles. Encore des encouragements Rappeler les encouragements dans le paragraphe précédent • vie intime dans le cadre du mariage,• relations fraternelles vraies et respectueuses. À nouveau des encouragementsÀ nouveau un sujet très concret. La mort Concernant un aspect du devenir de ceux qui sont décédés Pourquoi cette réponse aux questions ?Forcément, il y avait eu des décès depuis le temps où l’apôtre était passé mais peut-être des questionnements à cause des morts dûs à la persécutionet aussi un relatif trouble parce que le Seigneur Jésus n’était toujours pas revenu et que les apôtre en parlaient au présent ce qui traduit plutôt la certitude mais aussi une proximité.Que rappelle l’apôtre ? Oui à la tristesse Forcément, nous sommes tristes, nous n’avons pas été créés pour cela, ça reste une blessure, un traumatisme. Pas créés pour cela La mort est la conséquence directe• de la rébellion de toute l’humanité contre Dieu,• de notre indépendance vis-à-vis de Lui,qui nous confronte à quelque chose que Dieu ne désirait pas que nous responsables sont les hommes. Ne pas retenir que la tristesse ou resterIl faut être un fanatique• religieux• ou évangéliquepour dire alléluia, il est au ciel ! » Nous sommes tristes. Il n’est pas juste d’occulter cette douleur en l’anesthésiant artificiellement avec des lieux communs• plus ou moins vrais bibliquement• ou puérils. Parenthèse Entre parenthèse, on ne dit jamais à propos de quelqu’un qui n’est pas en Christ• Il est bien mieux là où il est » non c’est l’enfer…• Il ne souffre plus » justement sa souffrancedevient sans fin…C’est le désespoir, sans fin, sans retour ! Ce qui n’est pas le cas pour ceux qui sont attachés à Christ ! Pas de désespoir En revanche, nous ne sommes pas tristes au désespoir parce quetout s’arrête et qu’il n’y a plus rien après. Rappel important face aux conceptions habituellesPaul est obligé de le rappelerLa conception de ce qu’il advient après la mort• chez les Grecs• et les Romains antiquesétait assez proche de notre conception occidentale actuelle. Rien,• vaguement l’âme subsiste mais on sait pas trop où,• voire plutôt style jugement. En cela, on comprend que les premiers croyants étaient assez troublés face à ce qu’ils entendaient habituellement autour d’eux. Paul les encourage Dieu a voulu que cette épître nous parvienne pour que nous soyons aussi encouragés malgré la tristesse. Dieu désire que tous ne soient• plus dans l’ignorance• mais que la tristesse soit soignée par l’espérance de la vie pour toujours auprès de Christ. Remarque • L’espérance est sûre, certaine.• L’espoir est incertain. Espérance fondée sur Dieu Cette espérance s’appuie à nouveau sur les paroles du Seigneur Jésus, elle s’appuie sur ce que Dieu fait et non sur ce que nous pourrions faire• de notre vivant• ou ceux qui nous survivent. L’action de Dieu • Qu’est ce que Dieu a fait ? Il a permis que Jésus décède et ressuscite• Que fera Dieu ? La même chose avec ceux qui sont morts, avec Jésus à leur tête. Pas de point finalQuel encouragement !Rien ne s’arrête après notre vie ! Décidé par Dieu pour tousC’est au moment décidé par Dieu que cela se fera• aussi bien pour ceux qui sont décédés,• que ceux qui sont encore en vie. • Pas de distinction,• tous ensemble ! Moment solennel C’est un moment solennel ! Plusieurs aspects Jésus glorieux est impliqué Lui-même,• la voix de l’archange• et le son de la trompette marquent ce moment qui peut être vu de deux manières. Vision hébraïque Le son de la trompette était le moment où l’on rassemblait le peuple de le voyons actuellement dans l’un ou l’autre passage du livre des Juges. Vision gréco-romaine Ce qui correspond plus aux codes des destinataires de la lettreCela fait penser que quand une autorité importante politique devaient arriver dans une ville, une délégation allait à sa rencontre en dehors de la ville pour l’accompagner jusque dans la cette idée qui est au coeur de ces versets. Tous à la rencontre de Christ Les croyants• déjà décédés• et les vivantssont tous intégrés pour aller à la rencontre de ce cortège triomphal qui célèbre le retour glorieux de Christ. Tous = Tous les croyantsIl s’agit de ceux qui sont en Christ, qui l’ont choisi comme Seigneur et Sauveur de leur vie. Dieu respecte les choix et Il ne va pas intégrer dans Son cortège des personnes contre leur gré, c’est-à-dire les personnes qui auront été suffisantes vis-vis de Lui durant leur vivant. Réel moment, Paul place la réalité de la résurrections de tous les croyants auprès de Jésus• sous le saut de la certitude,• de l’encouragement,• de l’enseignement à transmettre• et comme une réalité imminente. 1 Thessaloniciens 4. 17Ensuite, nous qui serons encore en vie, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. Maintenant À la lecture, on a l’impression de maintenant » quand nous lisons l’écrit de l’apôtre. Nous perdons un peu avec la traduction l’idée de tous ensemble enlevés » C’était en effet, une expression utilisée pour l’action d’un aimant du des morceaux de fer qui sont captés serait comme cet aimant qui aspire automatiquement les croyants à Lui. Big question » La grande question est de savoir quand se passera ce retour certain et glorieux 1 Thessaloniciens chapitre En ce qui concerne les temps et les moments, vous n’avez pas besoin, frères et sœurs, qu’on vous écrive à ce En effet, vous savez bien vous-mêmes que le jour du Seigneur viendra comme un voleur dans la Quand les hommes dirontPaix et sécurité!»alors une ruine soudaine fondra sur eux, comme les douleurs sur la femme enceinte;ils n’y échapperont Mais vous, frères et sœurs, vous n’êtes pas dans les ténèbres pour que ce jour vous surprenne comme un Vous êtes tous des enfants de la lumière et des enfants du ne sommes pas de la nuit ni des Ne dormons donc pas comme les autres, mais veillons et soyons En effet, ceux qui dorment dorment la nuit, et ceux qui s’enivrent s’enivrent la Mais nous qui sommes du jour, soyons sobres, enfilons la cuirasse de la foi et de l’amour et ayons pour casque l’espérance du En effet, Dieu ne nous a pas destinés à la colère, mais à la possession du salut par notre Seigneur Jésus-Christ, 10 qui est mort pour nous afin que, soit que nous veillions, soit que nous dormions, nous vivions ensemble avec C’est pourquoi encouragez-vous les uns les autres et édifiez-vous mutuellement, comme vous le faites déjà. Quand ? La grande question est de savoir quand se passera ce retour l’apôtre avait déjà partagé sur le sujet car le début des versets que nous venons de lire sonne comme un rappel. Pas de date Évidemment, Dieu ne donne pas de date ça serait invivable de vivre avec la date de péremption de l’humanité actuelle… ContexteEn revanche, Il nous laisse des informations sur le contexte. La surprise• Comme un voleur qui commet son forfait la nuit d’une manière inattendue,• voire comme un accouchement. La différence entre ces deux images vient du fait que• la première insiste sur la surprise totale,• la seconde, il y a des signes relativement évidents. Notre soeur Andress accouche ce mois-ci et même derrière une caméra, on se doute de quelque chose, il y a des signes…C’est exactement la même idée dans ce que nous relate l’apôtre. Signes du contexte La surprise sera totale à un moment où l’humanité sera trop contente d’elle, de ce qu’elle aura réussi à produire une soi-disant Paix & Sécurité ». Un peu comme si l’humanité était arrivée à créer le repos » promis de se repose à la fin de la création, ce n’est pas la fatigue mais tout est parfait et veut conduire Son peuple dans le pays de Canaan pour qu’il goûte au repos. L’envie de repos est en nousCet aspiration est en nous• une réalité,• un héritagequi nous vient d’Eden. Cet donc normal que l’humanité• essaie de la recréer depuis toujours et• essaie de goûter à ce repos » pour répondre à cette aspiration,mais sans Dieu, c’est mission impossible. C’est le péché qui rend cela impossible. La fierté de l’humanité Certainement donc, au moment où l’humanité sera très contente d’être arrivée à cette pâle copie, qu’elle sera surprise par Celui qui va réellement instaurer le vrai repos. Proche ou loin Est-ce qu’on en est proche ou loin ?Plus ça va plus, plus on s’en mondialisation tend vers quelque chose de global. La patience de Dieu Mais il y a un autre élément qui entre en ligne de compte par rapport à la décision de Dieu Sa patience pour qu’un maximum goûte à la libération en Christ. 2 Pierre 3/ 88 Mais s’il y a une chose, bien-aimés, que vous ne devez pas oublier, c’est qu’aux yeux du Seigneur un jour est comme 1000 ans et 1000 ans sont comme un Le Seigneur ne tarde pas dans l’accomplissement de la promesse, comme certains le pensent;au contraire, il fait preuve de patience envers nous, voulant qu’aucun ne périsse mais que tous parviennent à la repentance. Un conseiller fédéral aurait dit Aussi vite que possible, aussi lentement que nécessaire. » Alain Berset Il faut en parler Le sujet de ce retour glorieux de Christ est le retour de Jésus, parlons-en ! Implication pour maintenant • Le retour certain de Christ• et la résurrection de tous les croyantsont une implication qui nous concerne dès maintenant. Pas un touriste en partance Le croyant n’est absolument un privilégié qui a un billet pour le cielet qui se comporte à l’inverse de son Sauveur. Un peu comme quand on fait du shopping dans les duty free », avant l’embarquement dans un aéroport. Lumineux Tout comme Jésus est lumière, tout comme Son premier acte créateur a été de séparer les ténèbres et la lumière. Lumineux et actifs nous aussi Nous sommes appelés, nous les croyants, à démontrer que nous nous préparons activement au retour glorieux de Christ, en ayant une attitude lumineuse. Les personnes qui allaient à la rencontre du dignitaire, avant qu’il rentre dans la ville, étaient actives et mettaient tout en place pour honorer l’hôte qui en est de même pour nous. Attitude À l’image de Jésus qui est Lumière, nous sommes aussi des personnes lumineuses, transparentes, claires, de confiance, actives pour préparer ce retour et dans les meilleures dispositions. A l’inverse de l’ambivalence, de la dissimulation de personnes qui suscitent la méfiance, qui gaspillent les grâces de Dieu, en utilisant le temps que Dieu offre à des futilités, en avilissant leurs vies boissons ou autres à être distraits dans le sens distraction au lieu d’être vigilants. Maintenant Cette application concrète et directe, concernant notre vie de maintenant, est solennelle Conséquent Dieu nous donne un capital vieQu’en faisons nous ?• Est-il tourné,• orienté,en vue du retour certain de Christ ? Est-ce un des éléments prioritaires de nos décisions ? Inconséquent Ou est-ce que le capital vie est dilapidé• à des futilités hédonistes centrées sur soi,• à des objectifs de consommation, de loisirs, d’investissements horizontaux de spéculations que nous ne pourrons pas prendre avec nous ? En fait, le modèle de vie qui nous est continuellement proposé dans notre société, l’est par l’éducation scolaire ou familiale et la politique commerciale, philosophique ou éthique… Les oeuvres des ténèbres Tous ces aspects représentent les oeuvres des ténèbres » car les ressources que Dieu donne ne sont pas tournées• pour l’honorer,• notamment en préparant le retour certain de Christ. Un comité d’accueil négligeant et distrait, c’est comme si le comité d’accueil du dignitaire qui devait venir profite des moyens mis à disposition pour l’évènement en• se faisant des bons restaurants,• se construisant des maisons,• s’assurant des placements financiers,• partant en voyage,• fréquentant bien les spectacles. Puis arrive le dignitaire, rien n’est prêt, rien n’est à la hauteur, les personnes ne sont pas prêtes à le recevoir. On s’indigne à raison quand un élu détourne l’argent public à des fins personnelles. Mais ne sommes nous pas pire avec les capacités que Dieu nous donne ? Ne tombons pas dans le piège C’est pour cette raison que Paul encourage les croyants à ne pas tomber dans le panneau. Actif Nous sommes appelés à être un comité d’accueil conséquent, en alerte de toutes les bonnes idées qui pourraient honorer l’hôte de marque qui arrive, notre Seigneur et Sauveur. JO de la jeunesse Quand les JO de la jeunesse ont été attribués à notre canton, le comité d’organisation ne s’est pas posé les questions Est-ce que c’est sûr ?Mais c’est vraiment nous ?C’est vraiment certain ? Non, ils se sont mis à l’oeuvre pour que tout soit prêt, ils ont cru à l’annonce et à la décision de l’évènement. Paul nous dit la même chose d’une manière différente 1 Thessaloniciens chapitre 58 Mais nous qui sommes du jour,soyons sobres, gardez toute votre énergie pour des choses utiles et constructivesenfilons la cuirasse de la foi c’est sûr, ça aura lieuet de l’amour état d’esprit du comité d’organisationet ayons pour casque l’espérance pas de l’espoir du salut la satisfaction de goûter à l’achèvement final et parfait auprès de Christ. 9 En effet, Dieu ne nous a pas destinés à la colère,mais à la possession du salut par notre Seigneur Jésus-Christ,Dieu patiente Aussi vite que possible, aussi lentement que nécessaire. » Jésus-Christ10 qui est mort pour nous afin que,soit que nous veillions, en étant actifs maintenantsoit que nous dormions, parce que déjà mortsnous vivions ensemble avec lui. 11 C’est pourquoi encouragez-vous les uns les autres et édifiez-vous mutuellement, comme vous le faites déjà. Le retour du Seigneur est un sujet peu développé. Versets clefs Bible Segond 21 Quote not found 1 Thessaloniciens 4 / Segond21 13. Nous ne voulons pas, frères et soeurs, que vous soyez dans l'ignorance au sujet de ceux qui sont morts, afin que vous ne soyez pas dans la tristesse comme les autres, qui n'ont pas d'espérance. 1 Thessaloniciens 4 / Segond21 17. Ensuite, nous qui serons encore en vie, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. 2 Pierre 3 / Segond21 8. Mais s'il y a une chose, bien-aimés, que vous ne devez pas oublier, c'est qu'aux yeux du Seigneur un jour est comme 1000 ans et 1000 ans sont comme un jour. Lecture Texte Bible Segond 21 1 Thessaloniciens 4 / Bible Segond211. Maintenant donc, frères et soeurs, vous avez appris de nous comment vous devez vous conduire et plaire à Dieu, [et c'est ce que vous faites]; de même nous vous le demandons et nous vous y encourageons dans le Seigneur Jésus progressez encore. 2. Vous savez, en effet, quelles instructions nous vous avons données de la part du Seigneur Jésus. 3. Ce que Dieu veut, c'est votre progression dans la sainteté c'est que vous vous absteniez de l'immoralité sexuelle, 4. c'est que chacun de vous sache garder son corps dans la consécration et la dignité, 5. sans le livrer à la passion du désir comme les membres des autres peuples qui ne connaissent pas Dieu; 6. c'est que personne dans ce domaine ne fasse de tort à son frère ou ne porte atteinte à ses droits, parce que le Seigneur fait justice de tous ces actes, comme nous vous l'avons déjà dit et attesté. 7. En effet, Dieu ne nous a pas appelés à l'impureté, mais à la consécration. 8. Celui donc qui rejette ces instructions ne rejette pas un homme, mais Dieu, qui vous a aussi donné son Saint-Esprit. 9. Vous n'avez pas besoin qu'on vous écrive au sujet de l'amour fraternel, car vous avez vous-mêmes appris de Dieu à vous aimer les uns les autres, 10. et c'est aussi ce que vous faites envers tous les frères et soeurs dans la Macédoine entière. Mais nous vous encourageons, frères et soeurs, à progresser encore, 11. à vous efforcer de vivre en paix, à vous occuper de vos propres affaires et à travailler de vos mains, comme nous vous l'avons recommandé. 12. Ainsi votre conduite sera honorable aux yeux des gens de l'extérieur et vous ne serez dépendants de personne. 13. Nous ne voulons pas, frères et soeurs, que vous soyez dans l'ignorance au sujet de ceux qui sont morts, afin que vous ne soyez pas dans la tristesse comme les autres, qui n'ont pas d'espérance. 14. En effet, si nous croyons que Jésus est mort et qu'il est ressuscité, nous croyons aussi que Dieu ramènera par Jésus et avec lui ceux qui sont morts. 15. Voici ce que nous vous déclarons d'après la parole du Seigneur nous les vivants, restés pour le retour du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui sont morts. 16. En effet, le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d'un archange et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel et ceux qui sont morts en Christ ressusciteront d'abord. 17. Ensuite, nous qui serons encore en vie, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. 18. Encouragez-vous donc les uns les autres par ces paroles. 1 Thessaloniciens 5 / Bible Segond211. En ce qui concerne les temps et les moments, vous n'avez pas besoin, frères et soeurs, qu'on vous écrive à ce sujet. 2. En effet, vous savez bien vous-mêmes que le jour du Seigneur viendra comme un voleur dans la nuit. 3. Quand les hommes diront Paix et sécurité!» alors une ruine soudaine fondra sur eux, comme les douleurs sur la femme enceinte; ils n'y échapperont pas. 4. Mais vous, frères et soeurs, vous n'êtes pas dans les ténèbres pour que ce jour vous surprenne comme un voleur. 5. Vous êtes tous des enfants de la lumière et des enfants du jour. Nous ne sommes pas de la nuit ni des ténèbres. 6. Ne dormons donc pas comme les autres, mais veillons et soyons sobres. 7. En effet, ceux qui dorment dorment la nuit, et ceux qui s'enivrent s'enivrent la nuit. 8. Mais nous qui sommes du jour, soyons sobres, enfilons la cuirasse de la foi et de l'amour et ayons pour casque l'espérance du salut. 9. En effet, Dieu ne nous a pas destinés à la colère, mais à la possession du salut par notre Seigneur Jésus-Christ, 10. qui est mort pour nous afin que, soit que nous veillions, soit que nous dormions, nous vivions ensemble avec lui. 11. C'est pourquoi encouragez-vous les uns les autres et édifiez-vous mutuellement, comme vous le faites déjà. 12. Nous vous demandons, frères et soeurs, de reconnaître ceux qui travaillent parmi vous, qui vous dirigent dans le Seigneur et qui vous avertissent. 13. Ayez beaucoup d'estime et d'amour pour eux à cause de leur travail. Soyez en paix entre vous. 14. Nous vous y invitons, frères et soeurs avertissez ceux qui vivent dans le désordre, réconfortez ceux qui sont abattus, soutenez les faibles, faites preuve de patience envers tous. 15. Veillez à ce que personne ne rende à autrui le mal pour le mal, mais recherchez toujours le bien, soit entre vous, soit envers tous les hommes. 16. Soyez toujours joyeux. 17. Priez sans cesse, 18. exprimez votre reconnaissance en toute circonstance, car c'est la volonté de Dieu pour vous en Jésus-Christ. 19. N'éteignez pas l'Esprit, 20. ne méprisez pas les prophéties, 21. mais examinez tout et retenez ce qui est bon. 22. Abstenez-vous de toute forme de mal. 23. Que le Dieu de la paix vous conduise lui-même à une sainteté totale et que tout votre être, l'esprit, l'âme et le corps, soit conservé irréprochable lors du retour de notre Seigneur Jésus-Christ! 24. Celui qui vous appelle est fidèle, c'est aussi lui qui le fera. 25. Frères et soeurs, priez pour nous. 26. Saluez tous les frères et soeurs par un saint baiser. 27. Je vous en supplie par le Seigneur que cette lettre soit lue à tous les frères et soeurs! 28. Que la grâce de notre Seigneur Jésus-Christ soit avec vous! 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