‍♂ Homme Qui Marche sur Google Noto Color Emoji Android 11.0 đŸš¶â€â™‚ïž Homme Qui Marche sur Google Noto Color Emoji Android 10.0 March 2020 Feature Drop đŸš¶â€â™‚ïž Homme Qui Marche sur Google Noto Color Emoji Android 10.0 Lhomme borĂ©al ne peut que s'Ă©tudier dans son environnement ,ce qu'il va dĂ©couvrir tout au long de ces annĂ©es de travail sur le terrain. Le travail universitaire (doctorat) ne sera pas celui d'un homme de cabinet : pendant quinze ans, il va Ă©tudier l'ethnohistoire des Inuits dans leur milieu en mĂȘme temps qu'il mĂšne des recherches sur la gĂ©omorphologie et la palĂ©oclimatologie nord Dansla vidĂ©o, la lĂ©gende, Jean-Claude Van Damme enseigne aux frĂšres Diaz comment utiliser des coups de pied pour gĂ©rer la distance, en montrant ses astuces Ă  Nate. Cette leçon spĂ©cifique Ondit que la maison aveugle, vĂȘtu d'un costume gris et le succĂšs est garanti ; D'ici 2020, ces ensembles portent des costumes, quasi-femme de se marier ; Dit veste en jean Ă  l'usure, l'effet peut jouer selon l'Ăąge ; Les hommes, une paire de chaussures noires, avec tout ce beau ; En 2020, les pantalons pour hommes sont les articles de mode Mettonsnous un instant dans la tĂȘte de votre homme pour comprendre pourquoi il s’éloigne, et comment vous devez agir dans ce cas. Pourquoi votre homme s’éloigne ? Cet homme s’éloigne car il a besoin de se recentrer sur lui. Si votre homme s’éloigne, il y a de fortes chances qu’il ait tout simplement besoin de se recentrer sur lui. Ainsi vous pourrez raviver ses sentiments de respect aussi bien que son attirance pour vous ! 8. Pourquoi une femme prend ses distances : elle est stressĂ©e. Lorsqu’une femme est stressĂ©e ou qu’elle est confrontĂ©e Ă  un problĂšme qui n’a rien Ă  voir avec la relation, elle peut prĂ©fĂ©rer se retirer plutĂŽt que d’en parler. Commentretenir le nom des planĂštes de la proche Ă  la plus Ă©loignĂ©e du Soleil ? Pour retenir le nom des 8 planĂštes dans l’ordre, tu peux t’aider de cette phrase : M e V oici T out M ouillĂ© J ’ai S uivi U n N uage. BUIqeE8. Que vous soyez cadre, manager ou dirigeant d'une petite entreprise, il est important de bien comprendre ce qu'est le management et ce qu'il n'est pas pour s'assurer la meilleure performance de vos collaborateurs. Qu'est-ce que le management ?Le management est un terme gĂ©nĂ©ral qui dĂ©signe le processus de planification, de coordination, de pilotage et de contrĂŽle des activitĂ©s d'un groupe de personnes en vue d'atteindre des objectifs spĂ©cifiques. C'est aussi la capacitĂ© Ă  coordonner des ressources multiples afin d'atteindre un objectif collectif. Le management intervient Ă  tous les niveaux d'une organisation , dans n'importe quel pratiques managĂ©riales ont une portĂ©e opĂ©rationnelle Ă  court terme, manager au quotidien et stratĂ©gique Ă  long terme, en s'impliquant dans le management stratĂ©gique.Qu'est-ce qu'un manager de proximitĂ© ?Il est au plus prĂšs du terrain et manage une Ă©quipe au quotidien. Cela inclut la rĂ©partition des tĂąches, le feedback et l'encadrement des employĂ©s, ainsi que la prise de dĂ©cisions qui affectent leur travail. Il est un manager opĂ©rationnel. Il est l'un des maillons essentiel dans la ligne hiĂ©rarchique entre la direction et les employĂ©s sur le terrain . Le management de proximitĂ© joue un rĂŽle primordial dans l'alignement des objectifs et des actions. Il dirige gĂ©nĂ©ralement un nombre limitĂ© de managers de proximitĂ© sont probablement les premiers Ă  remarquer que quelque chose ne va pas chez l'un de leurs subordonnĂ©s, ce qui fait d'eux d'excellentes ressources lorsqu'il s'agit d'aider un collaborateur Ă  amĂ©liorer ses performances ou son comportement. Il doit Ă©galement ĂȘtre capable de communiquer efficacement avec les autres afin de coordonner les efforts entre les dĂ©partements ou les Ă©quipes au sein d'une organisation, ainsi qu'avec les organismes extĂ©rieurs tels que les fournisseurs ou les clients. Lorsqu'il est impliquĂ© dans la gestion de projet, il endosse un rĂŽle transversal pour animer une Ă©quipe multidisciplinaire avec des profils n'appartenant pas forcĂ©ment Ă  son rĂŽle du managerLes managers doivent montrer qu'ils ont un sens clair de la direction Ă  suivre et de l'objectif, ce qui les aidera Ă  atteindre leurs buts. En outre, savoir manager c'est aussi Ă©tablir une bonne relation avec les membres de leur Ă©quipe en les traitant Ă©quitablement ; en respectant leurs opinions et leurs idĂ©es ; en les Ă©coutant attentivement lorsqu'ils s'expriment ; en renvoyant un feedback rĂ©gulier sur les questions de performance afin que les collaborateurs puissent se situer par rapport aux autres ; en les aidant Ă  dĂ©velopper les compĂ©tences qui sont importantes pour rĂ©ussir au sein de l'organisation ; en fixant des objectifs pertinents et engageants voir SMART et les OKR ; en Ă©tant honnĂȘte au sujet des erreurs commises par les collĂšgues/employĂ©s, mais aussi en les fĂ©licitant lorsqu'elles l'ont mĂ©ritĂ©e, un signe de reconnaissance important ; en rĂ©glant rapidement les problĂšmes afin que les progrĂšs se poursuivent sans interruption, sans que ces problĂšmes nĂ©gatifs ne ralentissent la progression vers la rĂ©alisation des buts/objectifs de l'organisation ; Qu'est-ce qu'un bon manager ?C'est un manager Ă  l'Ă©coute, proche de son manager doit ĂȘtre capable de dire ce qui doit ĂȘtre fait, mais il doit aussi Ă©couter attentivement lorsque les membres de son Ă©quipe font des suggestions ou proposent eux-mĂȘmes des Ă©tant physiquement proche de ses collaborateurs, il sera trĂšs probablement plus impliquĂ© dans leurs activitĂ©s quotidiennes. Il sera en mesure de voir ce que la personne rĂ©alise, ce qu'elle fait bien, et comment elle pourrait s' autre cĂŽtĂ©, un manager Ă©loignĂ© de son Ă©quipe aura moins d'interaction avec chaque employĂ© ; il lui sera donc plus difficile de connaĂźtre leurs performances, les difficultĂ©s qu'ils rencontrent ou encore leurs forces et faiblesses individuelles. Ce comportement dĂ©tachĂ© a un impact nĂ©gatif sur la satisfaction au travail. Cela peut entraĂźner une baisse du moral s'ils ont l'impression que personne ne se soucie d'eux ou de leurs opinions sur les questions sait dĂ©lĂ©guerLa dĂ©lĂ©gation est une pratique de gestion dans laquelle le superviseur dĂ©lĂšgue des responsabilitĂ©s Ă  ses employĂ©s. Bien que cela puisse sembler simple, le processus de dĂ©lĂ©gation peut ĂȘtre difficile. En effet, de nombreux managers sont bloquĂ©s lorsqu'il s'agit de dĂ©lĂ©guer parce qu'ils se sentent dĂ©passĂ©s par leur propre travail tout en voulant en garder la maĂźtrise. Ils manquent quelques fois de confiance envers leurs dĂ©lĂ©gation contribue Ă  Ă©viter le micromanagement , ce qui permet au dĂ©cideur de se concentrer sur la situation dans son ensemble, tout en donnant Ă  ses employĂ©s la maĂźtrise de leurs projets et de leurs tĂąches. En dĂ©lĂ©guant efficacement, le superviseur peut accomplir davantage sans se sentir dĂ©passĂ© ou stressĂ© !Il s'agit d'une compĂ©tence clĂ© du management. Pour dĂ©lĂ©guer efficacement, il doit Attribuer la responsabilitĂ© et l'autoritĂ© aux autres, tout en les tenant responsables des rĂ©sultats. Clarifier la portĂ©e et le pĂ©rimĂštre de ce qui est dĂ©lĂ©guĂ©. Se concentrer sur les tĂąches qu'il maĂźtrise et comprendre leur importance pour le succĂšs de l'Ă©quipe. DĂ©lĂ©guer les tĂąches qui sont gĂ©nĂ©ralement dans les limites des capacitĂ©s de l'employĂ©, mais qui peuvent nĂ©cessiter une formation ou des conseils avant qu'il ne puisse les accomplir seul en toute autonomie par exemple, de nouvelles responsabilitĂ©s. Il motive son Ă©quipeLa motivation des collaborateurs est l'un des aspects les plus importants du management. Savoir motiver est une compĂ©tence qui s'apprend et se dĂ©veloppe. La motivation des employĂ©s est importante pour le succĂšs d'une entreprise, d'une Ă©quipe et de la motivation, en bref, fait rĂ©fĂ©rence Ă  ce qui induit le comportement des individus. Il peut s'agir de facteurs internes ou externes qui influent sur leur volontĂ© et leur capacitĂ© Ă  bien s'acquitter de leur travail ou d'autres activitĂ©s. Ils peuvent se sentir dĂ©motivĂ©s Ă  diffĂ©rents moments de leur carriĂšre en raison de facteurs externes tels que des changements dans le style de gestion ou la culture de l'entreprise. Le rĂŽle du manager est d'entretenir cette implication dans leur mission en usant de diffĂ©rents outils comme la adopte un style de management adaptĂ©Les styles de management sont la maniĂšre dont un manager se comporte avec son Ă©quipe Ă  un moment donnĂ©. Il existe quatre grands modes de management directif, persuasif, dĂ©lĂ©gatif et taille, la structure et la culture de l'organisation peuvent influencer le style choisi. Le style dominant est souvent dĂ©terminĂ© par ses fondateurs/prĂ©sidents-directeurs gĂ©nĂ©raux. Il est Ă©galement influencĂ© par des facteurs culturels tels que son histoire ou encore par le secteur d'activitĂ© dans lequel l'entreprise bĂątit et maintient la cohĂ©sion d'Ă©quipeLa cohĂ©sion reprĂ©sente la force des relations entre les membres d'un groupe. Le rĂŽle du manager est de fĂ©dĂ©rer son Ă©quipe. Lorsque les collaborateurs se sentent liĂ©s les uns aux autres, ils sont plus susceptibles de s'engager envers leur organisation et ses objectifs. Ces groupes sont gĂ©nĂ©ralement plus productifs que les groupes moins soudĂ©s, car les membres partagent une vision commune et travaillent ensemble Ă  la rĂ©alisation d'objectifs collectifs. La cohĂ©sion d'une Ă©quipe est caractĂ©risĂ©e par le fait que chacun travaille avec les autres au lieu d'Ɠuvrer dans des directions et des rythmes diffĂ©rents. Ce fonctionnement favorise l'intelligence turnover a Ă©galement tendance Ă  ĂȘtre plus faible, ce qui peut permettre Ă  une organisation d'Ă©conomiser sur les coĂ»ts de recrutement, les dĂ©penses de formation et la perte de productivitĂ©, mais aussi limiter la fuite de talents et de affirme son leadershipLe management et le leadership sont deux choses diffĂ©rentes, mais elles sont leadership est la capacitĂ© d'amener les autres Ă  faire quelque chose sans pour autant user de son pouvoir hiĂ©rarchique. C'est une compĂ©tence qui s'apprend et se dĂ©veloppe, mais elle est aussi innĂ©e. Certaines personnes sont naturellement plus enclines que d'autres Ă  prendre les choses en main et Ă  les faire leadership est une question d'influence - il s'agit d'encourager les gens Ă  donner le meilleur d'eux-mĂȘmes et Ă  faire ressortir le meilleur des autres - et il s'agit de donner l'exemple aux autres en Ă©tant un modĂšle qui prend des dĂ©cisions en fonction de ce qui est le mieux pour l' est de devenir un leader inspirant pour piloter et guider son Ă©quipe vers le dĂ©tient de solides compĂ©tences managĂ©riales et personnellesCĂŽtĂ© savoir-ĂȘtre, pour rĂ©ussir dans ses missions, le responsable doit dĂ©tenir de solides compĂ©tences en s'appuyant sur de fortes qualitĂ©s personnelles et de "soft skills' comme l'empathie, la capacitĂ© d'Ă©coute, la maĂźtrise de soi, l'aptitude Ă  dĂ©cider, la facilitĂ© de communication, l'agilitĂ© d'esprit, la capacitĂ© d'adaptation ... La prise de parole en public n'est pas un problĂšme pour lui. Il sait convaincre et "vendre" ses idĂ©es Ă  ses interlocuteurs. Bref le mĂ©tier de manager requiert des qualitĂ©s managĂ©riales, mais aussi des atouts personnels pour construire sa lĂ©gitimitĂ© et conduire une managerIl n'est pas nĂ©cessaire d'ĂȘtre dĂ©tenteur d'un MBA ou de sortir d'une Business School pour devenir manager. En revanche, pour un profil technique, cette Ă©volution doit s'accompagner d'un apprentissage Ă  ce mĂ©tier Ă  part entiĂšre. L'encadrement d'une Ă©quipe requiert des savoirs et des savoir-faire spĂ©cifiques. Les formations en management sont nombreuses et existent sous diffĂ©rents formats e-learning, prĂ©sentiel, court, long, etc. A chacun de trouver la formule la plus adaptĂ©e pour une professionnalisation rĂ©ussie par l'acquisition des techniques de management. En Islam et par le biais du Saint Coran, Allah subhannou wa ta’ala nous a rĂ©vĂ©lĂ© comment arriver au Paradis, en nous Ă©loignant des pĂ©chĂ©s les plus affreux de ce monde. Parmi les plus mĂ©prisables figurent l’infidĂ©litĂ© avoir des relations sexuelles avec quelqu’un d’autre que son compagnon en dehors de la structure du mariage et la fornication avoir des relations sexuelles en dehors du mariage, auquel on fait allusion sous le nom de ZinĂą . ZinĂą » est dĂ©signĂ© dans le Saint Coran comme un pĂȘchĂ© capital pour lequel Allah subhannou wa ta’ala a dit Ne vous approchez pas de la fornication. C’est une abomination et une voie pleine d’embĂ»ches ». Verset 32 / Sourate 17. Dieu n’interdit pas seulement l’infidĂ©litĂ©, la fornication et l’adultĂšre. Il interdit mĂȘme de s’en approcher car ils portent atteinte Ă  la dignitĂ© humaine en faisant disparaĂźtre toute notion de pudeur. Le ProphĂšte Muhammad sallAllahou alayhi wa salam a aussi expliquĂ© la punition et les rĂ©percussions de ces actes odieux ainsi que les chĂątiments prĂ©vus pour les gens qui commettent cet acte de prĂšs ou de loin Les sept cieux et les sept terres ainsi que les montagnes maudissent la personne ĂągĂ©e qui commet le zinĂą. En Enfer, une puanteur tellement forte se dĂ©gagera des parties privĂ©es de ce genre de personnes qu’elle fera souffrir les gens qui s’y trouvent. » Mousnad BazzĂąr – Hadith dhaĂŻf. La gravitĂ© de la fornication et des relations hors mariage en Islam La zinĂą » a tragiquement pris une position critique au sein de la Oumma. Cette expression arabe, qui dĂ©signe Ă  la fois la fornication que l’adultĂšre, est interdite dans l’Islam car elle est considĂ©rĂ©e comme un pĂ©chĂ© capital. Allah Subhana wa ta’ala dit Ă  ce sujet Ne vous approchez pas de la fornication. C’est une abomination et une voie pleine d’embĂ»ches». Verset 32 / Sourate 17 Cependant, nos jeunes se sont familiarisĂ©s avec le fait d’avoir un amoureux ou une amoureuse et apprĂ©cient le sexe comme si cela Ă©tait une Ă©vidence voire une obligation faisant d’eux des gens modernes en phase avec leur temps. Une soi-disant norme qui pousse au pĂ©chĂ© mais dont beaucoup s’accommode estimant que c’est l’époque qui exige de vivre ainsi. Les adultes et les jeunes musulmans pratiquants pensent qu’il est normal d’avoir des relations sexuelles et de ne pas se souvenir de leurs engagements en tant que musulmans. Au moment oĂč nous parlons de fornication en Islam, il ne s’agit pas que de l’acte, mais aussi les regards, les mots et tous les gestes qui inciteront Ă  soumettre une transgression comme l’a dit le Messager d’Allah sallallĂąhou alayhi wa sallam Ô Ali ! Ne fais pas suivre le premier regard par un autre, car seul le premier t’est permis ». Ahmad, Abou Daoud et At-Tirmidhi. Allah a dĂ©crĂ©tĂ© pour chaque ĂȘtre humain sa part de fornication qu’il atteindra sans pouvoir s’y soustraire. La fornication de l’Ɠil est le regard. Celle de la langue est la parole. Celle des pieds et des pas qui l’y mĂšne. Celle de la main est le toucher. L’ñme espĂšre et dĂ©sire, et le sexe vient confirmer tout cela ou l’infirmer. » Abu Hurayrah. Beaucoup de musulmans n’ont malheureusement pas conscience de la gravitĂ© de leurs pĂ©chĂ©s alors qu’il suffit de se rĂ©fĂ©rer aux nombreux Hadith traitant le sujet de l’adultĂšre et la fornication en Islam Celui qui fornique n’est pas croyant au moment oĂč il commet la zinĂą 
 » SahĂźh BoukhĂąri et Mouslim. Lorsque le serviteur commet la zinĂą, la foi sort de lui et se transforme en une sorte de nuage qui couvre sa tĂȘte 
 » Sounan AbĂź DĂąoĂ»d – AuthentifiĂ© par Al AlbĂąni. Si Allah interdit les relations sexuelles hors mariage, c’est pour quelques raisons, la zinĂą » fait disparaĂźtre la discrĂ©tion et sabote l’équilibre de l’homme et met en danger les relations filiales. En outre, plus tĂŽt nos jeunes y prendront part, plus il leur sera difficile de l’empĂȘcher, tant pour une jeune fille que pour un jeune homme. Ces derniers envisagent souvent que cet engagement ne s’applique qu’aux jeunes filles et aux femmes ce qui est Ă©videmment absolument faux. Les deux versets du Saint coran nous le prouvent Les deux d’entre vous qui l’ont commise [la fornication], sĂ©vissez contre eux. S’ils se repentent ensuite et se rĂ©forment, alors laissez-les en paix. Allah demeure Accueillant au repentir et MisĂ©ricordieux. » [Sourate 4, An-Nissa Les femmes, verset 16]. Qui n’invoquent pas d’autre dieu avec Allah et ne tuent pas la vie qu’Allah a rendue sacrĂ©e, sauf Ă  bon droit ; qui ne commettent pas de fornication – car quiconque fait cela encourra une punition » [Sourate 25, Al-Furqane Le discernement, verset 68]. Les jeunes ont pris l’habitude d’exploiter la naĂŻvetĂ© des jeunes filles qui sortent avec eux et leur demandent ce qu’il y a de plus terrible, sans admettre que quelqu’un fasse de mĂȘme avec leurs sƓurs ou cousines. De plus, lorsque le jeune homme est prĂȘt Ă  se marier dans un mariage raisonnable, il impose Ă  la fille qui va ĂȘtre sa future femme d’ĂȘtre vierge, sans se rappeler qu’il est finalement passĂ© d’une jeune fille Ă  l’autre. Mais Allah soubhana wa ta’ala a dit Les mauvaises femmes aux mauvais hommes et les mauvais hommes aux mauvaises femmes. De mĂȘme les bonnes femmes aux bons hommes, et les bons hommes aux bonnes femmes ». [Sourate 24, An-Nur La lumiĂšre, verset 26]. Commettre la fornication en islam engendre un chĂątiment et une punition douloureuse dans l’au-delĂ  comme nous l’indique ce hadith dans lequel le ProphĂšte alayhi salat wa salam raconte les chĂątiments de la tombe que les anges lui firent montrer dans son rĂȘve. Il dit 
 Nous reprĂźmes notre marche et passĂąmes devant quelque chose comme un four Ă  pain. Il me semble qu’il a dit VoilĂ  que montaient de ce four une rumeur confuse et des voix ». Nous nous penchĂąmes pour voir dans son intĂ©rieur et voilĂ  qu’il y avait des hommes et des femmes nus. Des flammes venaient les lĂ©cher par en bas. Quand les flammes les touchaient, ils se mettaient Ă  crier. Je dis Que sont ceux-lĂ  ? » 
 Ils dirent Pour ce qui est des hommes et des femmes nus qui se tenaient dans une fosse semblable Ă  un four Ă  pain, ce sont les fornicateurs et les fornicatrices. » RapportĂ© par al-Boukhari. L’islam n’a pas opprimĂ© les relations sexuelles comme c’est le cas dans d’autres religions mais les a donnĂ©s un cadre autorisĂ© le mariage. Certes la fornication en islam est strictement interdite mais le mariage des jeunes et fortement recommandĂ© voire mĂȘme obligatoire. Dans ce contexte le ProphĂšte alayhi salat wa salam a dit Ô vous le jeunes, quiconque a les capacitĂ©s de se marier qu’il le fasse, car le mariage permet de prĂ©server le regard et la chasteté  » hadith rapportĂ© par al-Boukhari et Mouslim. Rappelons Ă©galement que derriĂšre chaque acte interdit d’Allah Soubhana wa ta’ala se cache une bĂ©nĂ©diction, se soumettre Ă  la parole cĂ©leste de dieu nous sauvera pour cette situation de vĂ©ritables maladies, de grossesses non dĂ©sirĂ©es venant des relations sexuelles hors mariage et les consĂ©quences qui y sont liĂ©es. Mais Allah Le TrĂšs Haut, nous dit Informe Mes serviteurs que c’est Moi le Pardonneur, le TrĂšs MisĂ©ricordieux» Sourate al-Hijr, 49, car Quiconque agit mal ou fait du tort Ă  lui-mĂȘme, puis aussitĂŽt implore d’Allah le pardon, trouvera Allah Pardonneur et MisĂ©ricordieux ». Sourate an-Nisa, 110. PrĂšs de 30 000 magasins dans 76 pays, plus de 4 milliards de tasses de cafĂ© vendues chaque annĂ©e
 FondĂ©e au dĂ©but des annĂ©es 1970, Starbucks est aujourd’hui la plus grande chaĂźne de cafĂ©s au monde et, Ă  l’instar de McDonald’s, une marque emblĂ©matique d’un certain mode de vie Ă  l’amĂ©ricaine. Un succĂšs phĂ©nomĂ©nal auquel les fondateurs de l’enseigne ne s’attendaient sans doute pas
 Au dĂ©part, ils Ă©taient trois. Trois amateurs de bon cafĂ©, lassĂ©s de ne pas trouver, Ă  Seattle, de petits noirs » dignes de ce nom. L’histoire de Starbucks commence un jour de 1970 lorsque Gordon Bowker retrouve Ă  dĂ©jeuner deux de ses amis, Jerry Baldwin et Zev Siegl. NĂ© en 1940, Bowker a enchaĂźnĂ© les petits boulots – chauffeur de taxi, garde-malade, guide touristique
 – avant de s’inscrire Ă  l’UniversitĂ© de San Francisco. Depuis quelque temps, il Ă©crit des scĂ©narios et collabore au principal journal de Seattle. C’est Ă  l’UniversitĂ© de San Francisco qu’il a fait la connaissance de Jerry Baldwin et de Zev Siegl. NĂ© en 1947, le premier enseigne l’anglais Ă  Seattle; quant au second, nĂ© en 1942, il est professeur d’histoire dans un collĂšge de la ville, un mĂ©tier qui ne le passionne guĂšre. Bons vivants, les trois amis partagent une mĂȘme passion pour le cinĂ©ma, la littĂ©rature, la gastronomie
 et le cafĂ©. Ce jour-lĂ , autour de la table qui les rĂ©unit pour dĂ©jeuner, Gordon Bowker explique qu’il en a assez de commander son cafĂ© Ă  Vancouver, au Canada, oĂč il a dĂ©nichĂ© un torrĂ©facteur de qualitĂ©. Une opĂ©ration finalement assez compliquĂ©e – Internet n’existe pas Ă  l’époque ! – et qui lui prend beaucoup de temps. Grand amateur d’expresso – une spĂ©cialitĂ© italienne qu’il a dĂ©couverte lors d’un voyage Ă  Rome – il n’en peut plus de l’infĂąme jus de chaussettes servi par les restaurants et les bars de Seattle. Pourquoi ne pas ouvrir un Ă©tablissement oĂč les habitants de Seattle pourraient, enfin, trouver du bon cafĂ© ? » lance-t-il Ă  ses amis. Jerry Baldwin et Zev Siegl se montrent d’emblĂ©e enthousiastes. Le projet leur paraĂźt d’autant plus viable qu’en raison des difficultĂ©s que connaĂźt alors le groupe Boeing, premier employeur de la ville, le prix des loyers commerciaux s’est effondré  Et c’est ainsi qu’en mars 1971, aprĂšs avoir apportĂ© chacun dollars et empruntĂ© collectivement dollars Ă  la banque, les trois amis ouvrent sur Western Avenue une petite boutique baptisĂ©e Starbucks ». C’est Bowker qui a trouvĂ© ce nom, celui de l’un des personnages principaux de Moby Dick, le roman de Herman Melville. Rien de bien surprenant, au demeurant, pour cet amateur de littĂ©rature, mĂȘme si le nom n’a rien Ă  voir avec le cafĂ© ! Mais il est percutant » et facile Ă  retenir
 Couvrant 200 mĂštres carrĂ©s environ, la boutique – louĂ©e 137 dollars par mois – a Ă©tĂ© dĂ©corĂ©e dans le style marine – une autre rĂ©fĂ©rence Ă  Moby Dick -, que l’on retrouve aussi dans le logo – une sirĂšne – dessinĂ© par le publicitaire Terry Heckler. Suprenant ! Loin de proposer des cafĂ©s Ă  consommer, comme c’est le cas aujourd’hui, le premier Starbucks est une sorte d’épicerie spĂ©cialisĂ©e au dĂ©cor cosy » qui vend Ă  ses clients du cafĂ© torrĂ©fiĂ© au poids ou en sachet – que l’on peut quand mĂȘme dĂ©guster Ă  la demande -, du thĂ©, des Ă©pices mais aussi des machines Ă  cafĂ©, des Thermos et des tasses
 Eduquer le consommateur en lui faisant dĂ©couvrir des cafĂ©s de qualitĂ© tel est le projet d’origine, un rien intellectuel, des trois compĂšres. Un modĂšle Ă©conomique qui allait ĂȘtre plus tard radicalement transformĂ©. Offrir du bon café  Pour remplir cet objectif, les trois associĂ©s se sont mis en quĂȘte d’un fournisseur de qualitĂ©. C’est en Californie, plus prĂ©cisĂ©ment Ă  Berkeley, qu’ils l’ont finalement trouvĂ©. Son nom Peet’s Coffee & Tea. FondĂ© par Alfred Peet, un Hollandais nĂ© en 1920 et arrivĂ© aux Etats-Unis au milieu des annĂ©es 1950, l’établissement est alors rĂ©putĂ© dans tous les Etats-Unis pour la qualitĂ© de ses grains, parfaitement torrĂ©fiĂ©s ! Entre Peet et le trio de Seattle, un accord est vite trouvĂ© Peet’s Coffee & Tea fournira Starbucks en cafĂ©s torrĂ©fiĂ©s. En Ă©change de ces commandes, il accepte de former Bowker, Baldwin et Siegl aux subtilitĂ©s de la torrĂ©faction. Durant toute l’annĂ©e 1971, les trois hommes se succĂšdent ainsi Ă  tour de rĂŽle Ă  Berkeley, apprenant du maĂźtre l’art et la maniĂšre de prĂ©parer les grains de cafĂ©. Fructueuse, cette collaboration durera un an. Jusqu’à ce que le niveau des commandes – important -, oblige Starbucks Ă  se fournir directement auprĂšs des grossistes en cafĂ© – puis des producteurs eux-mĂȘmes – et Ă  effectuer lui-mĂȘme les opĂ©rations de torrĂ©faction. Entre Bowker, Baldwin et Siegl, la rĂ©partition des tĂąches est alors trĂšs lĂąche. Parce qu’enseigner l’histoire l’ennuie, Zev Siegl a obtenu d’ĂȘtre le premier – et le seul ! – salariĂ© de l’établissement. Accueillant, chaleureux, il s’occupe de la vente et de la gestion au jour le jour de la boutique. Directeur en titre, Jerry Baldwin, lui, s’occupe plus particuliĂšrement des achats de cafĂ© puis, Ă  partir de 1972-1973, de la torrĂ©faction, une mission qu’il accomplit le week-end et le soir aprĂšs ses cours. Quant Ă  Gordon Bowker, qui poursuit, lui aussi, son activitĂ© d’écrivain indĂ©pendant, il a la responsabilitĂ© du marketing. Un bien grand mot qui consiste, en l’espĂšce, Ă  rĂ©diger les publicitĂ©s et, quand il le faut, Ă  peindre les murs
 Signe qu’elle correspond Ă  un vrai besoin, la petite boutique accueille plus de 150 clients par jour. Une deuxiĂšme boutique est alors ouverte en 1972, Ă  Seattle toujours, puis une troisiĂšme en 1975. Cinq ans plus tard, en 1980, l’enseigne compte dans la ville quatre magasins, une petite unitĂ© de torrĂ©faction – qui produit toutes sortes de mĂ©langes – et une douzaine de salariĂ©s, sans compter les fondateurs. Les fondateurs justement cette mĂȘme annĂ©e 1980, ayant Ă©puisĂ© les joies du commerce et dĂ©sireux de faire autre chose, Zev Siegl vend, pour quelques dizaines de milliers de dollars, ses parts Ă  ses deux associĂ©s. C’est alors que le destin de la petite entreprise prend un tour nouveau
 Nous sommes Ă  la fin de l’annĂ©e 1981. Depuis son bureau de la cĂŽte Est, Howard Schultz, trente-sept ans, vice-prĂ©sident en charge des activitĂ©s amĂ©ricaines d’Hammarplast, une firme suĂ©doise spĂ©cialisĂ©e dans la fabrication de produits en plastique pour la maison, Ă©pluche, comme il le fait rĂ©guliĂšrement, les chiffres mensuels de vente. Son regard est attirĂ© par le compte de Starbucks, une petite enseigne de Seattle. En l’espace d’un an, ses commandes de Thermos Ă  cafĂ© ont Ă©tĂ© multipliĂ©es par prĂšs de dix ! Homme de terrain rompu aux mĂ©thodes commerciales de Xerox, oĂč il a commencĂ© sa carriĂšre, Schultz dĂ©cide d’aller voir ce client qu’il ne connaĂźt pas. Ce qu’il dĂ©couvre sur place l’enchante littĂ©ralement quatre magasins plutĂŽt Ă©lĂ©gants, au positionnement original, manifestement en pleine croissance mais dont le potentiel lui paraĂźt largement sous-exploitĂ©. Las de travailler au sein de grandes compagnies, Howard Schultz tente alors le tout pour le tout Ă  Gordon Bowker et Jerry Baldwin qui l’ont reçu, il propose en effet de rejoindre l’enseigne comme directeur marketing, avec un salaire divisĂ© par trois ! Une offre spontanĂ©e que les deux associĂ©s, aprĂšs un temps de rĂ©flexion, dĂ©cident d’accepter. Plus que Jerry Baldwin – plutĂŽt rĂ©ticent – c’est Gordon Bowker qui a poussĂ© Ă  l’embauche de Schultz. Un moyen, Ă  ses yeux, de donner un nouvel Ă©lan au dĂ©veloppement de Starbucks que les deux amis ne savent plus trĂšs bien dans quelle direction orienter. Ils ne seront pas déçus
 En 1983, quelques mois aprĂšs son recrutement, Howard Schultz assiste Ă  Milan Ă  un Salon sur l’équipement de la maison. Sur place, il est impressionnĂ© par la culture italienne du cafĂ©, la qualitĂ© des mĂ©langes proposĂ©s Ă  la consommation et tout l’art de vivre qui existe autour de l’expresso. Une dimension qui, en son temps, avait ravi Gordon Bowker. Mais, contrairement Ă  ce dernier, Schultz en titre aussitĂŽt une conclusion pour relancer Starbucks, il faut changer totalement de modĂšle et faire des boutiques de l’enseigne non plus seulement des lieux de vente mais de vrais espaces conviviaux oĂč les clients pourront commander et consommer des cafĂ©s. Une vraie rĂ©volution, en effet, que Gordon Bowker et Jerry Baldwin refusent toutefois de mettre en oeuvre, tant elle s’éloigne de leur projet d’origine. DĂ©sireux cependant de ne pas heurter leur directeur du marketing, les deux associĂ©s l’autorisent Ă  tester son concept dans le nouveau Starbucks – le sixiĂšme – que l’enseigne s’apprĂȘte Ă  ouvrir Ă  Seattle. L’expĂ©rience se rĂ©vĂšle un vĂ©ritable succĂšs. Alors que, jusque-lĂ , le nombre moyen quotidien de clients par magasin Ă©tait de 200, la nouvelle formule en sĂ©duit plus de 800 par jour ! Un succĂšs qui autorise tous les dĂ©veloppements, y compris Ă  l’échelle nationale. Las ! MalgrĂ© cette rĂ©ussite, incontestable, Bowker et Baldwin – qui, dans l’intervalle, ont rachetĂ© les trois boutiques californiennes Peet’s Coffee & Tea – refusent d’étendre l’expĂ©rience aux autres Ă©tablissements de l’enseigne. A la prudence du premier, qu’effraie un peu ce grand bond en avant, s’ajoute la franche hostilitĂ© du second. Jerry Baldwin n’a en effet guĂšre d’atomes crochus avec Schultz, ce spĂ©cialiste du marketing qui veut faire de Starbucks un gros business » dĂ©ployĂ© sur tout le territoire amĂ©ricain. Pour Baldwin, Starbucks doit rester une petite affaire. Un vrai conflit de stratĂ©gies
 L’issue, dĂšs lors, est inĂ©luctable. En 1986, Howard Schultz dĂ©missionne de Starbucks et, avec plus d’un million de dollars levĂ©s auprĂšs d’investisseurs, crĂ©e son propre Ă©tablissement, le Giornale, qui propose des consommations de cafĂ© dans un cadre soignĂ©. Six mois aprĂšs sa crĂ©ation, l’endroit accueille dĂ©jĂ  plus de clients par jour. Est-ce le succĂšs de leur ancien directeur marketing ? Le sentiment qu’ils sont arrivĂ©s au bout d’un cycle ? Ou bien une certaine lassitude Ă  devoir faire sans cesse le grand Ă©cart entre Seattle et les boutiques californiennes de Peets ? Toujours est-il qu’en 1987, alors qu’il existe dĂ©jĂ  trois Giornale Ă  Seattle, Bowker et Baldwin vendent, pour 4 millions de dollars, leurs magasins et le nom Starbucks Ă  Howard Schultz. C’est lui, au prix d’un repositionnement stratĂ©gique menĂ© au pas de charge et destinĂ© Ă  transformer les Starbucks en vrais cafĂ©s conviviaux, qui donnera Ă  l’enseigne une dimension nationale puis internationale, faisant passer le nombre de boutiques de 12 Ă  165 entre 1987 et 1992, puis Ă  quinze ans plus tard
 Illustration. Le premier Starbucks, Seattle, 1971 Vous n’avez pas eu de nouvelles depuis plusieurs jours, il rĂ©pond Ă  peine Ă  vos messages, et plusieurs heures aprĂšs. Il est moins attentionnĂ© ces derniers temps, moins dĂ©monstratif
 Bref vous ressentez que votre homme s’éloigne, et c’est difficile Ă  vivre. De votre cĂŽtĂ©, vous envisagez le pire il a rencontrĂ© quelqu’un d’autre, il ne m’aime plus, il lui est arrivĂ© quelque chose etc. Vous avez envie de comprendre ce qu’il se passe dans sa tĂȘte, vous ne faites que penser Ă  lui, et cela devient pesant Ă  vivre. Dans les cas oĂč votre homme s’éloigne, votre cerveau se met en mode scĂ©nario catastrophe », et vous avez du mal Ă  vous raisonner, Ă  penser Ă  autre chose. Devez-vous le relancer encore une fois ? Vous vous posez plein de questions, puis viennent la colĂšre et la tristesse. Pas de panique les filles ! Il y a finalement peu de chance que le pire arrive, et bonne nouvelle cela dĂ©pend aussi de votre attitude vis-Ă -vis de lui. Mettons-nous un instant dans la tĂȘte de votre homme pour comprendre pourquoi il s’éloigne, et comment vous devez agir dans ce cas. Cet homme s’éloigne car il a besoin de se recentrer sur lui Si votre homme s’éloigne, il y a de fortes chances qu’il ait tout simplement besoin de se recentrer sur lui. Les hommes sont parfois moins dans la fusion que certaines femmes. Ils peuvent donner beaucoup dans la relation Ă  certains moments, et Ă  d’autres avoir envie de voir leurs amis, jouer Ă  la console
 Les hommes peuvent ressentir moins d’envie de tendresse, de cĂąlins etc. Et il n’y a pas de mal Ă  cela. Le seul problĂšme est que cela vous insĂ©curise, car vous avez l’impression que vous avez provoquĂ© l’éloignement, que vous avez fait quelque chose de mal. Alors que ce n’est pas du tout le cas ! Vous verrez aprĂšs quelques heures ou quelques jours Ă  se recentrer sur lui, il va revenir vers vous comme si de rien n’était. John Gray l’explique trĂšs bien avec la mĂ©taphore de l’élastique dans Les hommes viennent de Mars, les femmes de VĂ©nus » un homme est comme un Ă©lastique qui s’étend rĂ©guliĂšrement il s’éloigne et qui revient toujours. Gardez en tĂȘte qu’il reviendra trĂšs certainement vers vous, donc laissez-lui l’espace et la libertĂ© dont il a besoin Ă  ce moment-lĂ . Il a peur de l’engagement Il y a aussi des chances que votre homme s’éloigne car il a peur de l’engagement, surtout en dĂ©but de relation, ou Ă  un stade de votre relation oĂč il commence Ă  se poser des questions importantes Est-ce la femme de ma vie ? Est-ce que je me projette avec elle ? Oui, les hommes aussi se posent ces questions. Ils peuvent avoir des moments de flipette » s’ils ne sont pas sĂ»rs de la rĂ©ponse. C’est le cas typique des hommes qui se montrent dĂ©monstratifs, puis s’éloignent pendant plusieurs jours ou semaines, sans donner de nouvelles. Si vous tenez vraiment Ă  cet homme, c’est justement le moment de lui montrer que oui, vous ĂȘtes une femme exceptionnelle voir comment faire plus bas. Cet homme s’éloigne car il se dĂ©tache La troisiĂšme possibilitĂ© quand un homme s’éloigne de vous, c’est qu’il soit vraiment en train de se dĂ©tacher Ă©motionnellement. S’il devient agressif, vous parle mal, ne vous respecte plus, cela peut ĂȘtre un signe indicateur. Si vous le surprenez plusieurs fois en train d’écrire Ă  d’autres femmes, ou de cacher son portable, c’est Ă©galement mauvais signe. Si votre relation dure depuis un moment, et que c’est la premiĂšre fois qu’il s’éloigne comme ça, c’est le moment d’avoir une discussion honnĂȘte avec lui, pour savoir ce qu’il se passe. Mieux vaut savoir la vĂ©ritĂ© le plus rapidement possible, plutĂŽt que souffrir d’ĂȘtre dans le doute pendant des semaines
 Mais ne faites pas de conclusion hĂątive les signes que vous voyez sont peut-ĂȘtre infondĂ©s, donc attendez d’avoir des preuves, ou engagez la discussion avec lui. Que faire quand votre homme s’éloigne ? Vous auto-rassurer Etant donnĂ© qu’il y a de fortes chances que votre homme s’éloigne car il a besoin de se recentrer sur lui, ou qu’il a peur de l’engagement, il n’y a pas Ă  paniquer. Il va sĂ»rement revenir vers vous bientĂŽt ! Si vous ĂȘtes du type dĂ©pendante affective », Ă  avoir besoin de dĂ©monstrations d’amour frĂ©quentes, Ă  vivre trĂšs mal l’éloignement de votre partenaire, c’est une Ă©preuve trĂšs difficile. Si cet homme s’éloigne de vous rĂ©guliĂšrement, sans vous donner de nouvelles pendant plusieurs jours par exemple, il est prĂ©fĂ©rable de lĂącher cette relation, car vous risquez de souffrir en continu avec cet homme. Mais s’il s’agit d’un Ă©loignement raisonnable, mais tout de mĂȘme difficile pour vous, il va falloir vous auto-rassurer. Imaginez que vous parlez Ă  votre petite fille intĂ©rieure, qui a peur d’ĂȘtre quittĂ©e, abandonnĂ©e, rejetĂ©e. Rassurez-la avec douceur en lui disant qu’il n’y a pas de raison, que vous savez ce que vous valez. Demandez-lui de quoi elle a besoin en ce moment pour se sentir mieux regarder un film drĂŽle ? Sa sĂ©rie prĂ©fĂ©rĂ©e ? Danser, appeler une amie ? Ayez de l’indulgence envers vous-mĂȘme et vos Ă©motions vous faites ce que vous pouvez. Vous recentrer sur vous quand votre homme s’éloigne Si votre homme a besoin de temps pour se recentrer sur lui, la meilleure chose Ă  faire est la mĂȘme chose ! Cela montre que vous ĂȘtes dans une relation saine, oĂč vous ne dĂ©pendez pas de lui. Il n’y a en effet rien de plus dĂ©sagrĂ©able de savoir que l’autre a besoin de nous pour ĂȘtre heureux, pour vivre. Donc faites votre vie de votre cĂŽtĂ©, concentrez-vous sur vos passions, vos projets, votre famille, vos amis. Le but n’est pas d’étaler que vous vous Ă©clatez sur les rĂ©seaux sociaux, tout en surveillant son fil d’actualitĂ© Ă  lui. L’objectif n’est pas prendre soin de vous EN APPARENCE, mais en REALITE. Sinon vous allez rester coincĂ©e dans la souffrance et l’obsession de l’autre. MĂȘme si c’est difficile, essayez de faire un effort pour prendre soin de vous. AĂ©rez-vous l’esprit, ne soyez plus dans la dĂ©pendance vis-Ă -vis de lui. Vous montrer prĂ©sente mais pas dĂ©pendante Comme on l’a vu prĂ©cĂ©demment, la dĂ©pendance est malsaine, car cela met la pression Ă  votre partenaire, qui sent que sans lui, vous n’ĂȘtes rien, pas heureuse. Donc cela ne donne pas nĂ©cessairement envie de revenir vers vous. Montrez-lui Ă  l’inverse que vous pouvez avoir vos moments Ă  vous pour profiter, que vous savez avoir un Ă©quilibre de vie. Votre couple est aussi important que les autres domaines de votre vie famille, amis, travail, activitĂ©s etc. Attention cependant Ă  ne pas ĂȘtre dans l’extrĂȘme inverse adopter une attitude de fuite pour lui rendre la pareille. Par exemple, s’il revient vers vous le lendemain, et que pour vous venger, vous ne lui donnez pas de nouvelles pendant 2 jours, cela risque d’envenimer la situation. En effet, un homme qui tient Ă  vous a besoin de savoir que vous ĂȘtes prĂ©sente, sans ĂȘtre dĂ©pendante. Et c’est plutĂŽt sain en fin de compte ! Vous n’avez pas besoin de l’autre pour ĂȘtre heureuse, mais vous ĂȘtes heureuse de partager des moments privilĂ©giĂ©s avec lui. Je ne vous dis pas ici de vous adapter Ă  lui, et ĂȘtre disponible uniquement quand lui le veut, pas du tout. Il s’agit seulement de respecter ses moments Ă  lui, et d’avoir des moments pour prendre soin de vous aussi. Evitez juste d’ĂȘtre dans le silence uniquement par fuite. Pour rĂ©sumer, je vous conseillerais une seule chose si votre homme s’éloigne de la bienveillance et du respect, que ce soit envers votre homme et envers vous-mĂȘme 😊 Si vous voulez sortir des relations malsains de fuite, des relations de distance et des fuis-moi je te suis, suis-moi je te fuis », afin de vivre une belle histoire sincĂšre et stable, dĂ©couvrez mon programme gratuit Posture du CƓur » ici. Alors, quelle action pensez-vous mettre en place pour que votre homme revienne vers vous ? 😊 Marie, votre Love Mentor Les lecteurs de cet article ont aussi lu Un homme amoureux les 10 signes pour le reconnaĂźtre Dois-je accepter une relation sans engagement ? Les Lettres persanes sont emblĂ©matiques des LumiĂšres, mouvement europĂ©en qui incarne le combat de la raison contre l’obscurantisme. Des philosophes tels Voltaire, Diderot, d’Alembert ou Rousseau prĂŽnent de nouvelles valeurs l’éducation et les connaissances doivent Ă©clairer les hommes. CafĂ©s et salons sont le lieu d’échanges et de dĂ©bats qui participent Ă  l’émergence de ce mouvement. La littĂ©rature reflĂšte une nouvelle vision du monde et contribue Ă  former des hommes plus heureux et avisĂ©s. En 1721, Les Lettres persanes jouent un rĂŽle essentiel en participant Ă  la contestation des abus de pouvoir et Ă  la volontĂ© de fonder une sociĂ©tĂ© plus juste. Montesquieu, prĂ©curseur des LumiĂšres Montesquieu est Ă  l’avant-garde du mouvement. Noble bordelais, fils de magistrat, grand propriĂ©taire terrien, conseiller au Parlement de Bordeaux, il reprĂ©sente l’idĂ©al d’une aristocratie Ă©clairĂ©e. Son ouverture d’esprit s’exprime lorsqu’il Ă©pouse une riche hĂ©ritiĂšre de confession protestante alors que sa famille est catholique. Grand Ă©rudit, dĂ©fenseur de la libertĂ© d’expression, soucieux d’établir des lois justes au service de tous, Montesquieu est un homme de son temps qui ouvre la voie aux philosophes français. En dĂ©nonçant le despotisme et le fanatisme, il prĂ©sente des alternatives Ă  la monarchie absolue dont il souligne les limites et les injustices. Les circonstances de la publication Ă©chapper Ă  la censure Jusqu’à la fin du XVIIIe siĂšcle, tout ouvrage doit obtenir le privilĂšge royal pour ĂȘtre publiĂ©. L’Église peut mettre Ă  l’index certaines Ɠuvres qui nuisent Ă  la doctrine catholique. Ces interdictions entrainent la circulation d’Ɠuvres clandestines et la publication anonyme ou depuis l’étranger. Nombreux sont les Ă©crivains qui mettent en place d’inventives stratĂ©gies pour Ă©chapper Ă  cette censure. Montesquieu fait publier les Lettres Persanes anonymement et Ă  Amsterdam. En outre, il dĂ©fend l’authenticitĂ© de ses lettres et nie les avoir Ă©crites et inventĂ©es se prĂ©sentant comme simple traducteur d’une correspondance que des amis persans lui ont confiĂ©e Les Persans qui Ă©crivent ici Ă©taient logĂ©s avec moi ; nous passions notre vie ensemble. Comme ils me regardaient comme un homme d’un autre monde, ils ne me cachaient rien. En effet, des gens transplantĂ©s de si loin ne pouvaient plus avoir de secrets. Ils me communiquaient la plupart de leurs lettres ; je les copiai.»Une Ɠuvre emblĂ©matique de son Ă©poque L’Ɠuvre de Montesquieu s’inscrit dans la mode artistique orientaliste, trĂšs en vogue en ce dĂ©but de siĂšcle. Les Lettres persanes prolongent le succĂšs des Mille et une nuits traduits par Antoine Galland. L’imaginaire des lecteurs se nourrit de fantasmes l’univers clos du sĂ©rail siĂšge d’Eros l’amour et Thanatos la mort, la beautĂ© et sensualitĂ© des femmes d’Orient, la valorisation des plaisirs de la chair, l’exotisme des paysages sont autant de clichĂ©s qui sĂ©duisent le public. La littĂ©rature n’est pas le seul art Ă  s’emparer de ces reprĂ©sentations l’orientalisme transparaĂźt aussi dans la peinture Liotard, Boucher, Van Loo, la musique Rameau, Mozart, la dĂ©coration intĂ©rieure ou les thĂšmes des bals Ă  la Cour. Le succĂšs des Lettres persanes s’explique donc en partie par cette fascination des contemporains pour l’Orient. Un subtil jeu de miroir et regards croisĂ©s L’éloignement perse est le parfait outil de dĂ©nonciation des mƓurs françaises. Le regard Ă©loignĂ© est double c’est celui de deux persans voyageurs mais aussi celui du lecteur europĂ©en sur l’univers clos du sĂ©rail. Le sĂ©rail d’Usbek est Ă  la fois un lieu de dĂ©lices et de plaisirs» et une prison dorĂ©e oĂč sont brimĂ©es les libertĂ©s des femmes et oĂč s’exerce le despotisme du sultan. La Cour de France est vue Ă  travers les yeux Ă©tonnĂ©s, amusĂ©s ou critiques, d’Usbek et Rica. À l’inverse, les rĂ©alitĂ©s françaises sont aussi transposables en Perse et les actions des eunuques rappellent les intrigues des ministres et des courtisans vis-Ă -vis du Roi. C’est donc un subtil jeu de miroirs et regards croisĂ©s que nous offre ce roman Ă©pistolaire. Une espĂšce de roman» Cette expression employĂ©e par Montesquieu dans ses rĂ©flexions liminaires rĂ©vĂšle la nature hybride du rĂ©cit. Il possĂšde des caractĂ©ristiques du roman la structure narrative puisqu’ on voit le commencement, le progrĂšs, la fin» ; le systĂšme des personnages liĂ©s par des relations affectives ou sociales comme l’exprime la mĂ©taphore les divers personnages sont placĂ©s dans une chaine qui les lie» ; la vraisemblance des Ă©vĂ©nements relatĂ©s les mƓurs de cette partie du monde prennent dans leur tĂȘte un air moins merveilleux et moins bizarre». Cependant, la rĂ©flexion philosophique, morale et politique laisse davantage penser au genre de l’apologue l’auteur s’est donnĂ© l’avantage de pouvoir joindre de la philosophie, de la politique et de la morale Ă  un roman et de lier le tout par une chaine secrĂšte et, en quelques façons, inconnues». La polyphonie Ă©pistolaire La forme adoptĂ©e par Montesquieu n’est pas anodine il choisit le genre Ă©pistolaire qui connaĂźt un grand succĂšs dans son siĂšcle. L’intrigue n’est pas menĂ©e par un narrateur unique mais par de multiples voix. Usbek correspond avec 22 personnes, Rica 5 cette multiplicitĂ© crĂ©e une polyphonie. En 161 missives, les Ă©changes entre Ă©pistoliers construisent deux rĂ©cits principaux le voyage des Persans en Europe et la vie au sĂ©rail en leur absence. Comme plusieurs voix se font entendre, plusieurs points de vue se croisent. Par exemple, le sĂ©rail est Ă  la fois perçu par les eunuques, les femmes et Usbek chaque vision enrichit le point de vue du lecteur. De ce kalĂ©idoscope des regards naĂźt la confrontation des opinions qui permet la prise de recul et le relativisme. Le refus du manichĂ©isme La voix de Montesquieu n’est pas celle de tel ou tel personnage, elle transparaĂźt tantĂŽt sous la plume d’Usbek, tantĂŽt sous celle de Rica ou de Roxane. Si Usbek est le personnage principal par le nombre de lettres qu’il reçoit et adresse, il n’en demeure pas moins un personnage ambigu. Il possĂšde de nombreuses qualitĂ©s la perspicacitĂ©, la curiositĂ© intellectuelle, la sagesse, la fidĂ©litĂ© mais se rĂ©vĂšle Ă©galement un amant jaloux et violent, un despote cruel aveuglĂ© par ses passions. Il est souvent le porte-parole de Montesquieu comme dans la lettre 48 oĂč il Ă©crit Ă  Rhedi Ceux qui aiment Ă  s’instruire ne sont jamais oisifs [
] Je passe ma vie Ă  examiner, j’écris le soir ce que j’ai remarquĂ©, ce que j’ai vu, ce que j’ai entendu dans la journĂ©e. Tout m’intĂ©resse et tout m’étonne». Mais la rĂ©pression brutale du sĂ©rail le dĂ©crĂ©dibilise lettre 150 Lisez les donc, ces ordres, et vous pĂ©rirez si vous n’obĂ©issez pas» et sĂšme le doute sur la virulente critique du despotisme du Roi de France. Cette ambiguĂŻtĂ© est intĂ©ressante et permet au lecteur de dĂ©libĂ©rer pour construire sa propre rĂ©flexion son esprit critique est sollicitĂ©. Cette dĂ©marche est propre aux LumiĂšres, elle rend le lecteur actif et maĂźtre de son jugement. Plaire et instruire Montesquieu sait que son message passera mieux sous la forme plaisante de l’apologue, une fiction au service des idĂ©es. Ainsi, le rĂ©cit enchĂąssĂ© des Troglodytes, lettres 11 Ă  14, illustre l’adage la vertu rend heureux. La fable se construit sur une antithĂšse entre un temps oĂč les Troglodytes Ă©taient des ĂȘtres sans foi ni loi, individualistes et Ă©goĂŻstes, conduits Ă  leur perte et un temps oĂč les deux familles survivantes sont si vertueuses et altruistes qu’elles bĂątissent un modĂšle idĂ©al de sociĂ©tĂ©. C’est une utopie dont les piliers sont l’entraide, le partage du pouvoir, l’honnĂȘtetĂ© et l’intĂ©rĂȘt commun. Les grandes thĂ©matiques de l’Ɠuvre Le roman du sĂ©rail Ce lieu ambivalent du plaisir et de l’oppression est Ă©voquĂ© dans 35 lettres. La question du dĂ©sir est centrale dĂ©sir frustrĂ© d’Usbek au dĂ©but de son union avec la pudique Roxane, dĂ©sir des femmes entre elles lettres 4 et 147, des eunuques 9, 53 ou des hommes qui rendent visite aux femmes en secret. Le sĂ©rail reflĂšte le pouvoir arbitraire et les interdits. Par son suicide, Roxane se libĂšre et affirme son indĂ©pendance J’ai pu vivre dans la servitude, mais j’ai toujours Ă©tĂ© libre» Roxane Ă  Usbek, lettre 161. Le pouvoir Les Lettres persanes proposent une rĂ©flexion politique et la satire de la monarchie absolue de droits divins. Sous le masque ironique de l’éloge dans les lettres 24, 37 ou 99, on peut lire un portrait peu flatteur du vieux Roi, magnifique, surtout dans ses bĂątiments». Tel un magicien», il manipule ses sujets et son pouvoir est abusif et despotique. L’Eglise Le pape et la hiĂ©rarchie ecclĂ©siastique sont objets de satire une vieille idole qu’on encense par habitude» lettre 29 ; toutes les religions connaissent un traitement burlesque lettre 17 ou lettre 35, les querelles et les interdits dogmatiques sont prĂ©sentĂ©s comme absurdes. La critique des mƓurs Elle s’étend sur de nombreux domaines Usbek se moque de l’architecture parisienne les maisons y sont si hautes qu’on jurerait qu’elles ne sont habitĂ©es que par des astrologues» lettre 24, des Français toujours pressĂ©s ; Rica caricature la vanitĂ© des coquettes qui refusent de vieillir lettre 52 et les caprices de la mode lettre 99 ; Usbek s’étonne de l’infidĂ©litĂ© des Françaises lettre 56, s’amuse des ridicules de l’AcadĂ©mie française lettre 73, stigmatise le culte des apparences et la flatterie des courtisans, s’étonne de l’art de la discussion lettres 82, 87 ou de la mode cafĂ©s lettre 36. La sociĂ©tĂ© française apparaĂźt comme une sociĂ©tĂ© du paraĂźtre oĂč les relations humaines sont fondĂ©es sur l’intĂ©rĂȘt, la sĂ©duction, la domination, la duperie. La chronique d’une Ă©poque 1711-1720 Sont Ă©voquĂ©s la mort de Louis XIV en 1715, la RĂ©gence de Philippe d’OrlĂ©ans puisque Louis XV n’a que 5 ans, les guerres de religion et les querelles thĂ©ologiques entre JĂ©suites et JansĂ©nistes, la visite en France de l’ambassadeur de Perse lettre 91, la banqueroute de Law et la crise financiĂšre qui en rĂ©sulte lettre 140, l’essor de la presse
 Autant de sujets qui font des Lettres persanes une Ɠuvre actuelle beaucoup moins fantaisiste qu’il n’y paraĂźt. CE QU’IL FAUT RETENIR Ne sentirons-nous jamais que le ridicule des autres?» Rica Ă  Usbek, lettre 52 Le regard Ă©loignĂ© permet Ă  Montesquieu de poser un regard critique sur la sociĂ©tĂ© car comme l’écrit Rica nous ne jugeons jamais des choses que par un retour secret que nous faisons sur nous-mĂȘmes.» lettre 59. Ce regard Ă©tranger permet d’envisager une autre pensĂ©e que la sienne, d’autres mƓurs, d’autres cultures, c’est un miroir tendu aux lecteurs.

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